Quel profil faut-il pour ouvrir une franchise ?

Quel que soit votre profil, il faut avoir l’envie d’entreprendre, bénéficier d’une assise financière suffisante, avoir le sens du commerce et des capacités managériales et enfin, avoir une bonne connaissance de son territoire…

Prérequis en franchise n° 1 : avoir l’envie d’entreprendre

Une franchise est le fruit d’un accord entre un franchiseur, propriétaire de la marque ou de l’enseigne, et un franchisé, commerçant indépendant habilité à vendre les produits et/ou services de ce dernier. Dès lors, un recruteur recherche, avant tout autre chose, une personne motivée. Sous ce modèle, le chef d’entreprise bénéficie du savoir-faire et de l’accompagnement du réseau…

Dès lors, l’envie d’entreprendre est la première qualité recherchée ! Sur ce principe, un mécanicien en reconversion professionnelle peut tout à fait supplanter un chef cuisinier pour l’ouverture d’une succursale de restauration, s’il s’avère plus motivé par le métier, qu’un professionnel du secteur potentiellement désabusé.

Assez logiquement, un franchiseur va choisir un profil qui déploiera tout ce qu’il faut pour vendre sa marque, ayant un goût du travail suffisamment prononcé pour enrichir son réseau, dans tous les sens du terme (chiffre d’affaires, notoriété, nouvelles idées, …).

Prérequis en franchise n° 2 : avoir une solide assise financière

Si la franchise est ouverte à un large panel de profils d’entrepreneur, ce statut suppose toutefois de bénéficier d’un apport financier suffisant pour s’affranchir des droits d’entrée et des investissements nécessaires au lancement de l’activité.

Déjà, il faut bien comprendre qu’un franchiseur ne vous donne pas les droits d’exploitation de sa marque et de ses produits, il vous les vend. Ces droits d’entrée peuvent varier sensiblement d’une franchise à l’autre et suppose de les connaître pour les intégrer à votre plan de financement.

Par ailleurs, s’il existe des aides financières pour ce type de projet, la plupart des banques demanderont un apport personnel minimum, pour sceller leur soutien. De son côté, le franchiseur y verra un gage de bonne foi, témoignant de votre intérêt et de votre attrait en son concept.

Enfin, une bonne assise financière permet d’anticiper une éventuelle période de non-rémunération pour le franchisé. En effet, même si l’appartenance à un réseau vous permet de bénéficier de son savoir-faire et d’un fonctionnement rodé, il y aura forcément une phase de lancement incompressible, avant d’atteindre un rythme de croisière…

Prérequis en franchise n° 3 : avoir le sens du commerce et des capacités managériales

Quelle que soit la franchise retenue, un franchisé doit savoir vendre un produit et/ou un service. Dès lors, il doit posséder une certaine aisance commerciale pour convaincre les clients. Ici, il s’agit de différencier le savoir-faire technique du fait de « savoir vendre ». En effet, un boulanger peut techniquement faire un excellent pain, s’il ne sait pas en vanter les mérites, il ne pourra pas développer son activité.

Un franchiseur va prioritairement chercher des profils à l’aise avec le commerce pour développer son réseau — se chargeant, le cas échéant, d’une formation de la dimension technique de son métier (à l’image de ce que propose La Compagnie des Toits).

Parallèlement, il va aussi rechercher des capacités managériales chez un franchisé. À noter que les profils « cadres » sont grandement apprécié, notamment au sein de la franchise La Compagnie des Toits, puisqu’ils combinent une expérience en gestion humaine et commerciale.

Au-delà de qualités humaines évidentes (contacts avec les clients, les salariés, les autres membres du réseau), le franchisé idéal doit savoir se positionner correctement avec ces différents publics : un « esprit réseau » pour travailler en équipe, un profil « manager » pour diriger ses employés et un profil « commercial » pour représenter positivement la marque auprès de la clientèle.

Prérequis en franchise n° 4 : avoir une bonne connaissance de son territoire

Traditionnellement, une franchise couvre un territoire bien défini. L’objectif étant qu’il n’entre pas en concurrence avec une autre agence du réseau. Que ce soit du côté du franchiseur ou du côté du franchisé, il s’agit donc de s’interroger sur le potentiel de sa zone et connaître ses acteurs économiques.

Idéalement, un franchiseur va privilégier un profil solidement ancré sur sa zone, car il en déduira qu’il en connaît mieux les cibles locales. Mieux, il appréciera un candidat à la franchise ayant tissé un solide réseau local — que ce soit par la pratique d’activités de loisirs (associations, clubs…) ou par une expérience professionnelle (entreprises).

De son côté, le franchisé doit s’interroger sur la « plus-value géographique » qu’il peut apporter à la marque ou à l’enseigne. Autrement dit, la population de son territoire est-elle encline à acheter les produits et/ou services de la franchise ?

À noter qu’en cas de « parachutage » dans une autre région, le franchisé doit absolument s’assurer que son projet professionnel satisfait tous les membres de la famille et qu’ils en mesurent tous les conséquences (déménagement, changement d’école…). Ce n’est qu’à ce prix qu’il pourra éventuellement convaincre le franchiseur de sa démarche.

À La Compagnie des Toits, l’approche technique du métier est balisée lors de la formation initiale de 8 semaines dispensée par la franchise, au même titre que l’approche commerciale. Si vous êtes motivé(e) par l’envie d’entreprendre (qualité essentielle pour nous !), si vous disposez d’une bonne assise financière (pour asseoir votre projet et notre collaboration) et si vous disposez des qualités humaines et managériales (inhérentes au statut d’un franchisé), vous pouvez tout à fait prétendre à rejoindre notre réseau ! Que diriez-vous de prendre un temps pour en discuter ensemble ?

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Interview Julien N. : retour sur la formation initiale

Pouvez-vous présenter votre parcours en quelques mots ?

Après une formation de juriste, j’ai évolué pendant 20 ans dans l’industrie, principalement dans la négociation de contrats de constructions et d’achats/ventes de prestations complexes. Dans cet univers très technique, j’ai toujours navigué dans des métiers opérationnels, au sein de grands groupes, puis auprès de PME.

C’est au contact de ces plus petites structures que j’ai découvert, peu à peu, l’envie d’entreprendre. Toutefois, la complexité de mon projet était de concilier ma volonté d’aller dans un domaine technique, avec ma formation généraliste…

Pourquoi avoir choisi d’entreprendre en franchise ?

Après une dizaine d’années de maturation, mon envie d’entreprendre a pris une dimension plus concrète. Alors que je suis toujours en poste, la société chinoise pour laquelle je travaille change de stratégie et la nouvelle feuille de route ne me convient plus : je décide donc de m’en aller…

Marié et père de 5 enfants, je n’envisageais, pas une seconde, la création d’entreprise : compte-tenu de mes responsabilités familiales, je ne pouvais pas, sereinement, m’orienter dans une voie où la rentabilité est si difficile à programmer dans le temps.

Je me suis concentré alors vers la reprise d’entreprise technique, en me disant que le transfert de compétences avec le Cédant pouvait m’aider à « compenser » ma formation généraliste. En réalité, la recherche s’avère difficile, avec une réelle difficulté à se projeter, dans la mesure où cela peut prendre quelques semaines à 2 ans… Or, je suis contraint par le temps : je dois impérativement inscrire mon projet dans le cadre limité de mes 2 années de droits au chômage.

Parallèlement, je décide donc de regarder les offres en franchise, même s’il y en a peu concernant le domaine technique : en effet, pour moi, en création pure, c’est la seule hypothèse réaliste, au vu de mon parcours, de mes envies et de mes responsabilités familiales…

Qu’est-ce qui vous a amené à rejoindre La Compagnie des Toits ?

Au cours de mes recherches, j’ai étudié deux franchises, de manière plus approfondie, mais La Compagnie des Toits a rapidement retenu toute mon attention. Tant au niveau de son approche que pour sa technicité, elle se distinguait nettement de l’autre. En effet, sur les 8 semaines de formation, il y en avait 5 uniquement dédiées à la technique, ce qui était un excellent point de départ.

Ensuite, au hasard de mes vacances, je suis allé rencontrer le gérant de l’agence La Compagnie des Toits Bouches-du-Rhône Nord-Est et je lui ai posé directement mes questions, levant, grâce à lui, mes derniers doutes. Ingénieur de formation, il était totalement ignorant de ce qui concernait la toiture. Pour autant, avec l’accompagnement de la franchise, il s’est rapidement senti compétent techniquement.

Dans la formation initiale, comment s’est déroulée la partie technique ? Quels en ont été les moments marquants ?

J’ai beaucoup apprécié la formation initiale de La Compagnie des Toits, et plus particulièrement la partie technique. Pendant 4 semaines, nous sommes restés en huis clos, avec un autre gérant et notre formateur technique, bénéficiant aussi d‘interventions régulières de Nicolas Legendre, fondateur du réseau.

La force de cette franchise est d’avoir su industrialiser l’analyse du toit : quelle que soit le type de couverture (couverture traditionnelle, bitume, etc.), les différentes parties du toit sont nécessaires pour assurer des fonctions précises, que l’on doit retrouver dans tous les types de toiture.

L’apprentissage s’est déroulé de façon très progressive, avec une approche pratique des problèmes, ce qui s’est avéré très précieux dans nos démarches commerciales. À l’origine, la connexion commerce/technique n’était pas vraiment évidente, alors que, maintenant, elle me saute aux yeux tous les jours !

Je m’explique. Généralement, les clients nous contactent, pour répondre à une problématique et demandent un devis, pour une réfection complète. Lorsqu’ils ont déjà rencontré un autre professionnel, nous pouvons réellement faire la différence avec nos concurrents ! En effet, contrairement à eux, nous ne sommes pas soumis à un catalogue de produits. Mieux, nous pouvons les accompagner sur tout le périmètre de leur toiture. Nous disposons du recul (et des compétences techniques) pour voir toutes les alternatives possibles : pourquoi refaire la totalité du toit, lorsqu’une réparation spécifique pourrait être aussi efficace et limiter les coûts ? ou à l’inverse : est-il raisonnable de continuer à réparer ce toit qui aurait plutôt besoin d’une réfection ?

Enfin, la 5e semaine de la formation La Compagnie des Toits est consacrée aux solutions que proposent les partenaires de la franchise. À cette occasion, nous sommes allés rencontrer plusieurs partenaires spécialisés (fournisseurs de résine, membranes PVC et bitume, membrane EPDM, etc.)

Toujours pour la formation initiale, qu’en est-il de la partie commerciale ?

La partie commerciale dure 2 semaines et s’est avérée tout aussi indispensable que la partie technique…

Avant toute chose, il faut savoir que la franchise réclame le recrutement d’un commercial, en amont de la formation. En effet, un planning est remis, dès la signature de la franchise, pour que, notamment, le financement, le local, ainsi que le recrutement du commercial soient déjà actés.

Pour cette démarche, La Compagnie des Toits peut accompagner cette embauche : dans mon cas, Nicolas Legendre a fait passer un entretien à 2 candidats que j’avais reçus, allant jusqu’à leur demander de se soumettre à un exercice de démarchage téléphonique. À l’issue de ces rencontres, il m’a fait part de son impression et j’ai pu choisir plus sereinement mon commercial.

Dans le cadre de la formation initiale de La Compagnie des Toits, il est alors invité à me rejoindre pour la partie qui le concerne. Après un petit rattrapage sur la partie technique, nous entamons une partie théorie sur la commercialisation des services de la franchise.

La deuxième semaine est consacrée à la mise en pratique : nous passons des appels téléphoniques, pour décrocher des rendez-vous concrets, afin de démarrer notre activité. Le formateur reste à l’écoute et nous fait des commentaires sur les arguments à privilégier et sur d’autres axes d’améliorations de notre discours commercial.

Après ces 8 semaines de formation initiale, vous sentez-vous prêt à démarrer ?

À l’issue de la formation initiale, l’activité est lancée avec l’exercice de la prise de rendez-vous. Nous nous sentons bien armés pour démarrer. Lorsque j’ai tourné la clé dans la serrure le lundi 4 avril, j’avais un planning de rendez-vous client complet pour 3 semaines.

Reste à finaliser le démarrage des premiers chantiers effectifs… Heureusement, pendant les 3 premiers mois du contrat, j’ai bénéficié de 2 réunions en visio, de 2 heures chacune, pour évoquer toutes les questions techniques qui me traversaient l’esprit : diagnostics, préconisations, organisation de chantier, etc. Tout en sachant qu’il est toujours possible d’appeler en dehors de ces créneaux, et aussi souvent que nécessaire.

Comment décririez-vous le réseau La Compagnie des Toits, vu de l’intérieur ?

Pour moi, la formation La Compagnie des Toits s’est achevée le 30 mars dernier. Depuis, je constate que ce réseau est extrêmement vivant et très nourrissant sur le plan technique. J’échange beaucoup avec les autres gérants, notamment sur les dimensions gestion et commerce. Je m’adresse également beaucoup à mon franchiseur pour faire le point sur la stratégie de développement de mon entreprise. Dans tous les cas, je me sens écouté et soutenu.

De quels autres accompagnements bénéficiez-vous, pour le lancement de votre activité ?

Au-delà de l’accompagnement de La Compagnie des Toits, je me suis appuyé sur deux dispositifs :

  • Initiative Eure-et-Loir
    Au-delà du prêt d’honneur qui vient de m’être accordé, ce réseau me permet d’avoir un solide ancrage local. En effet, si j’habite à Rambouillet, ma zone d’intervention s’étend sur les départements de l’Eure-et-Loir et des Yvelines. Mais je me suis naturellement orienté vers le réseau Initiative Eure-et-Loir, territoire prépondérant sur mon secteur d’activité.
  • Réseau entreprendre
    À l’heure où je vous parle, je passe en comité d’engagement la semaine prochaine. Si je suis accepté, je bénéficierai d’un prêt d’honneur et d’un accompagnement personnalisé. Ainsi, cet apport financier pourra augmenter le financement de l’entreprise, permettant de disposer d’une réserve de trésorerie et/ou faire face à l’embauche d’un autre binôme de couvreur. Ce suivi me permettrait, de challenger mon projet sous tous les angles (matériel, commerce, juridique, etc.), tout en bénéficiant d’un accompagnement, qui sorte de la bulle du spécialiste de la couverture.

Quel(s) conseil(s) donneriez-vous à un candidat à la franchise ?

Au départ, je n’avais pas envie d’être seul pour entreprendre : selon ce postulat, la franchise est une bonne option ! On est forcément soutenu par un franchiseur, avec lequel nos intérêts sont alignés.

Plus spécifiquement, pour un candidat à La Compagnie des Toits, s’il est passionné par le savoir-faire technique, il est assurément à la bonne place !

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Interview Nicolas LEGENDRE : le cap des 10 agences atteint

Il a découvert l’univers de la toiture en 2014, avec une vision qui s’est précisée au fil des années : le toit professionnel doit être considéré comme un système à part entière avec un cycle de vie. L’impulsion centrale qui guide Nicolas LEGENDRE en accompagnant ainsi des porteurs de projets, repose sur un parti pris : « Faire ensemble et réussir en faisant réussir ».

À quelques semaines de sa 2e année en franchise, c’est l’heure d’un premier bilan…

Le cap des 10 agences, en tant que fondateur du réseau, est désormais franchi, êtes-vous satisfait de ce développement ?

Comme tout entrepreneur, systématiquement enclin à en faire davantage, le sentiment de satisfaction est difficile à exprimer. Mais objectivement, nous pouvons attester du bon démarrage de notre franchise.

À ce jour, nous comptons 11 agences dans le réseau La Compagnie des Toits : au-delà des 2 agences historiques, 7 sont sur le point de terminer leur premier exercice et 2 autres viennent de signer le contrat d’engagement. Au lancement de notre société, les connaisseurs du secteur nous invitaient à considérer la signature de 4 franchisés, après les 2 premières années d’activité, comme un bon résultat. À cette échéance, nous en avions déjà 8…

Comment envisagez-vous le développement du réseau à moyen et long terme ?

Bousculés par ces résultats prometteurs, nous sommes en train de réviser notre prévisionnel. Toutefois, sur la base d’un horizon à 5 ans, nous espérons compter une trentaine d’agences au sein du réseau, à savoir, environ 5 par an.

Si ce rythme de croissance peut paraître modéré, au regard de ces deux premières années, il est essentiel à la mise en place d’un réseau de qualité. Notre domaine d’activité suppose de réunir de bons consultants techniques, ayant pleinement conscience de leurs responsabilités. En effet, tous nos franchisés doivent pouvoir réussir leur démarrage : or, leur performance économique est immédiatement corrélée à notre capacité à les accompagner correctement, en toute sécurité.

Quelle stratégie de recrutement observez-vous pour soutenir votre croissance ?

Comme nous sommes attachés au développement d’un réseau de qualité, la croissance de la franchise La Compagnie des Toits dépend directement de notre stratégie de recrutement – tant au niveau de nos franchisés, qu’au niveau de nos consultants techniques. Au fil des années, nous avons réussi à identifier des canaux particulièrement intéressants, pour porter notre approche sur-mesure.

Pour les franchisés, nous nous appuyons notamment sur les sites leaders de la mise en relation entre les porteurs de projets et les franchiseurs. L’association CRA est également une source que nous étudions minutieusement : elle réunit plus d’un millier de candidats à la reprise, dont une partie pourrait, potentiellement, être intéressée par notre réseau…

Pour les techniciens, nous avons profité de l’expérience de nos agences historiques La Compagnie des Toits, pour identifier les canaux de recrutement à privilégier. Désormais, nous nous appuyons sur les agences de recrutement, qui connaissent bien le tissu local et nous font remonter les bons profils. Parallèlement, nous allons déployer une plateforme digitale permettant, sous une seule interface, de publier nos offres d’emploi sur de nombreux sites spécialisés tout en simplifiant la globalité du processus de recrutement.

Quel accompagnement proposez-vous aux franchisés La Compagnie des Toits ?

En signant un contrat d’engagement avec la franchise La Compagnie des Toits, le franchisé bénéficie d’une formation de 8 semaines, juste avant l’ouverture de son agence.

Ensuite, nous avons déployé un certain nombre de services annexes, pour l’accompagner au fil des années : un volet « technique » et un volet « commercial & gestion » avec, systématiquement, des visites physiques et une présence soutenue à distance.

La singularité de notre réseau est d’offrir une relation pro-active avec nos franchisés. Comme nous suivons quotidiennement leur activité, nous sommes à leurs côtés lorsque des signaux d’alerte apparaissent, mais aussi, lorsque tout va bien. Nous les rappelons systématiquement, pour qu’ils puissent profiter pleinement des services que nous mettons à leur disposition. Notre force est d’être là au quotidien !

Pour quelles raisons, vos franchisés choisissent-ils votre enseigne ?

L’attrait de la franchise La Compagnie des Toits est de compiler la jeunesse avec l’expérience (la première société date de 2014), tout en s’appuyant sur une structure à taille humaine. Au-delà de ces qualités, 3 grandes motivations ressortent des discussions au sein de notre réseau :

  • L’approche métier BtoB (les franchisés désirent travailler entre professionnels)
  • La dimension technique (véritable outil de différenciation de notre enseigne)
  • Notre positionnement industriel (avec ses processus et sa direction technique).

Existe-t-il un profil-type de franchisé, au sein de La Compagnie des Toits ?

Jusqu’ici, la franchise La Compagnie des Toits accueille des profils extrêmement variés (juriste, chef d’entreprise, DRH…) puisqu’elle n’a aucune barrière technique. Son approche est systémique : dès que le fonctionnement est intégré (accompagnement sur-mesure), tout le monde peut se lancer !

Au-delà de la grande diversité de parcours professionnel, on distingue 2 grands profils de franchisés :

  • Un profil à dominante commerciale, attiré par le développement de l’activité et la relation client
  • Un profil à dominante technique, attiré par la résolution de problèmes

Quel(s) conseil(s) donneriez-vous à un candidat à la franchise ?

Avant toute chose, tout franchisé de La Compagnie des Toits doit avoir un véritable attrait pour le domaine d’activité. En effet, un profil « 100 % investisseur » ne pourrait se détacher de la dimension opérationnelle, avant 5 ans… Par ailleurs, comme il s’agit souvent d’une reconversion professionnelle, il est primordial d’y trouver une satisfaction jour après jour. Compte-tenu de la particularité de notre activité, il faut également tenir compte de ce que cela implique au quotidien : par exemple, êtes-vous sujet(te) au vertige, sachant qu’il vous faudra monter sur les toits ?

Ensuite, nous vous invitons à bien regarder ce que vous apporte la franchise, tant en matière de formations que d’accompagnement en continu. Un bon franchiseur est un franchiseur qui doit vous donner tous les moyens de réussir ! Voilà pourquoi, à La Compagnie des Toits, nous vous formons au départ, mais nous vous proposons aussi des services annexes, à utiliser tout au long de notre contrat de 7 ans (reconductible).

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