Notre 17ème franchisé rejoint le réseau

Retour sur son profil

Diplômé à l’Ecole Supérieure d’Ingénieurs des Travaux de la Construction (ESITC) à Metz, Grégoire a ensuite occupé différents postes dont Directeur de Travaux pendant 8 ans.

En 2015, il deviendra par la suite directeur du Centre terrassement en Auvergne-Rhône-Bourgogne au sein du Groupe Vinci Construction Terrassement.

En nous rejoignant, il devient désormais un futur dirigeant d’une agence La Compagnie des Toits qui ouvrira ses portes en avril 2024.

Son agence interviendra sur le secteur sud du Rhône (69), devenant ainsi la 19ème agence du réseau La Compagnie des Toits.

Le réseau expert des toits professionnels

Devenir à terme le réseau expert des toits professionnels, tout en permettant à des porteurs de projet de réussir et de s’épanouir personnellement et professionnellement, telle est l’ambition de l’enseigne. La Compagnie des Toits continue d’offrir une pluralité d’opportunités d’implantations sur toute la France.

Pour assurer un bon lancement, booster et sécuriser le développement de chaque franchisé, l’équipe tête de réseau accompagne en permanence ces derniers et met à leur disposition un ensemble de services parmi lesquels :

  • une formation initiale de huit semaines
  • une formation continue
  • un accompagnement technique et commercial
  • des points de rencontre réguliers
  • des outils experts et novateurs.

Vous souhaitez vous aussi intégrer en tant que franchisé, un réseau expert aux convictions fortes ?

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Notre 16ème franchisé rejoint le réseau

Retour sur son profil

Diplômé d’un Executive Master Management général à l’EM Lyon, Florent a travaillé pour l’OPAC Saône-et-Loire, en tant que responsable service Habitat Exploitation et Gestion Locative puis pour Grand Dijon Habitat en tant que responsable de proximité.

En nous rejoignant, il devient désormais un futur dirigeant d’une agence La Compagnie des Toits qui ouvrira ses portes en avril 2024.

Son agence interviendra sur le secteur nord de la Saône-et-Loire (71), devenant ainsi la 18ème agence du réseau La Compagnie des Toits.

Le réseau expert des toits professionnels

Devenir à terme le réseau expert des toits professionnels, tout en permettant à des porteurs de projet de réussir et de s’épanouir personnellement et professionnellement, telle est l’ambition de l’enseigne. La Compagnie des Toits continue d’offrir une pluralité d’opportunités d’implantations sur toute la France.

Pour assurer un bon lancement, booster et sécuriser le développement de chaque franchisé, l’équipe tête de réseau accompagne en permanence ces derniers et met à leur disposition un ensemble de services parmi lesquels :

  • une formation initiale de huit semaines
  • une formation continue
  • un accompagnement technique et commercial
  • des points de rencontre réguliers
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Notre 15ème franchisé rejoint le réseau

Retour sur son profil

Diplômé d’une licence professionnelle à l’Institut Supérieur du Transport Et de la Logistique Internationale (ISTELI). Depuis 2007, il s’est lancé dans la création d’entreprises dans différents secteurs. Il est aujourd’hui multi-franchisé pour des sociétés comme Les Menus Services ou encore Philae Services Funéraires.

Ouverture prévue courant avril 2024

En nous rejoignant, il devient désormais un futur dirigeant d’une agence La Compagnie des Toits qui ouvrira ses portes en avril 2024.

Son agence interviendra sur le secteur nord de l’Ille-et-Vilaine (35), devenant ainsi la 17ème agence du réseau La Compagnie des Toits.

Le réseau expert des toits professionnels

Devenir à terme le réseau expert des toits professionnels, tout en permettant à des porteurs de projet de réussir et de s’épanouir personnellement et professionnellement, telle est l’ambition de l’enseigne. La Compagnie des Toits continue d’offrir une pluralité d’opportunités d’implantations sur toute la France.

Pour assurer un bon lancement, booster et sécuriser le développement de chaque franchisé, l’équipe tête de réseau accompagne en permanence ces derniers et met à leur disposition un ensemble de services parmi lesquels :

  • une formation initiale de huit semaines
  • une formation continue
  • un accompagnement technique et commercial
  • des points de rencontre réguliers
  • des outils experts et novateurs.

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Trouver une franchise rentable en 6 étapes

Dynamique et pertinent, ce modèle est résolument attractif pour tout entrepreneur sachant repérer une franchise rentable… Découvrons ensemble les 6 étapes nécessaires pour en identifier une.

Qu’est-ce qu’une franchise rentable ?

Qu’est-ce que la rentabilité d’un concept de franchise ?

Les spécialistes de la franchise s’accordent à dire qu’une entreprise franchisée est rentable lorsque le cumul des résultats nets avant impôt (RNAI) dégagés depuis le début de l’activité, est supérieur à l’apport personnel du dirigeant (en moyenne 30% du budget global). Traditionnellement, cette bascule s’observe après 2 à 3 années d’exploitation.

En d’autres termes, une franchise rentable est une activité qui permet au franchisé de dégager un revenu correct de son exploitation et de générer absolument un retour sur investissement (lent ou rapide, petit ou grand).

Les différents types de rentabilité

La rentabilité d’une franchise se calcule à partir de données vérifiables, afin de vous permettre de vous projeter et de bien évaluer le marché. À ce stade, on distingue :

  • La rentabilité financière ou la capacité du réseau à générer des profits, avec les capitaux propres des franchisés. Elle se calcule comme suit : (résultat d’exploitation – impôt sur les bénéfices – intérêts versés aux dettes financières) / capitaux propres.
  • La rentabilité économique ou la performance de l’exploitation, en considérant les capitaux propres et les dettes financières. Elle se calcule comme suit : (résultat d’exploitation – impôts sur les bénéfices / (capitaux propres + dette financière).
Le seuil de rentabilité

Une franchise rentable est également déterminée par le chiffre d’affaires minimum à produire pour obtenir un résultat nul, même si l’objectif est évidemment qu’il soit positif. Comme toute entreprise classique, ce seuil de rentabilité se calcule comme suit : (charges fixes + charges variables) / chiffre d’affaires.

Les charges fixes renvoient aux dépenses récurrentes, comme le loyer, les assurances, les abonnements, les remboursements de prêts. Les charges variables dépendent, quant à elles, de l’activité de l’entreprise (salaires du personnel, achats de marchandises, redevances du franchiseur…).

Quelles sont les 6 étapes pour dégager une rentabilité ?

Au-delà de ces données tangibles incontournables, la rentabilité d’une franchise s’évalue aussi sur des critères moins immédiatement appréhendables. Voilà pourquoi il faut, en moyenne, 12 à 15 mois pour éprouver véritablement la pertinence de son choix…

Étape 1 : Maîtrise-t-elle son concept ?

Partenariat gagnant-gagnant entre le franchiseur et le franchisé, ce modèle économique implique, pour le premier, de transmettre son savoir-faire au second. À aucun moment, ce dernier ne doit pouvoir se dire qu’il aurait très bien pu réussir seul. Par la maîtrise de son concept et son évolution maîtrisée, le franchiseur doit apporter sa valeur ajoutée, tout au long de la collaboration.  

Étape 2 : Quel est le potentiel du secteur d’activité ?

Même si la franchise s’invite dans de nombreux secteurs d’activité, il est primordial de choisir un marché avec un fort potentiel – que ce soit un secteur porteur et résilient, comme le BTP ou un marché de niche (tout en prenant soin de ne pas tomber dans l’effet de mode). Pour cela, il s’agit de mener une étude de marché approfondie, tant au niveau national que local.

Étape 3 : Quelle est la réputation de la marque ?

Une franchise rentable s’évalue aussi à travers la notoriété de son réseau, gage de fiabilité et de succès de la marque. Avec des agences savamment implantées dans l’Hexagone, voire à l’international, la prise de risques est évidemment plus réduite. Ensuite, il s’agit d’éprouver l’image de l’enseigne en recueillant les avis de consommateurs, la satisfaction client, l’affluence sur les points de vente, les certifications, attestations ou labels de qualité éventuels…

Étape 4 : Le réseau est-il soumis à beaucoup de turn-overs ?

Si la fidélisation des clients est un gage de fiabilité, le turn-over en interne est aussi un indicateur précieux à considérer. Un taux trop élevé peut cacher un mauvais retour sur investissement ou un défaut dans l’accompagnement des franchisés. Ce critère vous amène à vous interroger sur les conditions de travail dans l’entreprise ou concernant la formation des salariés… Aux données transmises par le franchiseur, il convient d’aller directement sur place pour recueillir les témoignages.

Étape 5 : Quel est l’accompagnement envisagé ?

Dans ce partenariat gagnant-gagnant, le franchiseur s’engage à vous accompagner dans le lancement de votre activité, mais aussi dans son développement : concrètement, il s’agit de vous aider à rester performant, à gagner du temps, à mutualiser les coûts…

À La Compagnie des Toits, cet accompagnement débute avec 8 semaines de formation (technique et commerciale) et se poursuit avec des rendez-vous de suivi et des animations webinaires régulières. Sans oublier, nos outils mutualisés, comme notre plateforme logicielle, afin que notre savoir-faire demeure accessible facilement et serve au quotidien (devis type par exemple).

Étape 6 : Quel est le niveau de redevance ?

Inscrit sur le contrat, le montant des redevances (ou royalties) dû au franchiseur se construit, soit sur un pourcentage du chiffre d’affaires hors taxe, soit sur un forfait. Cette rémunération couvre obligatoirement l’exploitation du concept, l’assistance, les frais de formation, les services fournis, la communication, la recherche et le développement.

À La Compagnie des Toits, la redevance est de 8% au global, soit 6% de royalties d’exploitation et 2% de communication marketing.

La rentabilité d’une franchise s’évalue de façon pragmatique, avec des données tangibles et des calculs mathématiques (rentabilité financière, rentabilité économique, seuil de rentabilité…). Mais elle s’évalue aussi sur des critères humains, qu’il faut prendre le temps de mesurer (turn-over, fidélisation client, accompagnement du franchiseur, etc.). Afin d’alimenter votre réflexion, Nicolas Legendre, fondateur de La Compagnie des Toits, vous livre son expérience et ce qui, selon, lui, constituent les 5 facteurs clés pour entreprendre en Franchise avec succès. Une contribution non négligeable !

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Notre 14ème franchisé rejoint le réseau

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Diplômé en Audit Expertise Comptable à l’ESSCA d’Angers, il a débuté en tant que commercial chez Nestlé Grand Froid. Il a ensuite suivi une majeure finance l’amenant a travaillé chez EY en audit puis en transaction services.

Après 5 ans d’expérience à effectuer des missions d’audit (comptes CAC 40) et de due diligence (PME/ETI) en équipe, il a approfondi ses connaissances financières en fonds d’investissements au Crédit Agricole.

Ouverture prévue fin 2023

En nous rejoignant, il devient désormais un futur dirigeant d’une agence La Compagnie des Toits qui ouvrira ses portes en novembre 2023.

Son agence interviendra sur le secteur de la Gironde – Est (33), devenant ainsi la 16ème agence du réseau La Compagnie des Toits.

Le réseau expert des toits professionnels

Devenir à terme le réseau expert des toits professionnels, tout en permettant à des porteurs de projet de réussir et de s’épanouir personnellement et professionnellement, telle est l’ambition de l’enseigne. La Compagnie des Toits continue d’offrir une pluralité d’opportunités d’implantations sur toute la France.

Pour assurer un bon lancement, booster et sécuriser le développement de chaque franchisé, l’équipe tête de réseau accompagne en permanence ces derniers et met à leur disposition un ensemble de services parmi lesquels :

  • une formation initiale de huit semaines
  • une formation continue
  • un accompagnement technique et commercial
  • des points de rencontre réguliers
  • des outils experts et novateurs.

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La reconversion idéale pour un ingénieur

Mais, une fois cette appréhension dépassée, il suffit d’étudier les autres chemins professionnels potentiels, parmi lesquels figure la solution de la franchise, qui peut être intéressante.

Pourquoi un ingénieur veut-il se reconvertir ?

Si les trois quarts des ingénieurs français (77 %) se déclarent « très satisfaits » ou « satisfaits » de leur emploi, cette catégorie socio-professionnelle est aussi celle qui passe le plus souvent à l’acte, pour changer de métier (34 %).[1]

Parmi les raisons évoquées pour une reconversion, figurent le manque d’autonomie ou de moyens, des objectifs en conflit avec leurs valeurs, le manque de temps pour réfléchir ou encore, le sentiment de ne plus se sentir utile

À l’image de Jérôme Boisneau qui a préféré « arrêter avant de finir écartelé, entre sa conscience et son travail » : après 10 ans dans l’industrie, il est désormais à la tête d’une ferme maraîchère, en permaculture. Il a « voulu changer de voie pour nourrir les gens, et surtout bien les nourrir, mais également pour se retrouver en phase avec ses valeurs écologiques ».[2]

Quelles démarches doit-il entamer ?

La reconversion n’est pas chose aisée : à la peur de l’inconnu s’ajoute la peur de la perte du confort de vie, généralement associée à la situation professionnelle d’un ingénieur. Mais, en vous donnant la permission d’explorer de nouvelles pistes, vous pourrez commuer cette insatisfaction ressentie au travail, en nouvel élan, sans, pour autant, tout remettre en cause financièrement…

Étape 1 : Formaliser ses besoins et attentes

La première étape de la reconversion consiste à pousser votre réflexion, pour faire le point sur vos envies et vos besoins. Dans votre métier d’ingénieur, quelles sont les tâches qui ne vous plaisent plus ? Parvenez-vous à concilier votre vie professionnelle et votre vie personnelle ? Disposez-vous des qualifications indispensables pour assumer le métier que vous envisagez ? Impératif, ce chemin introspectif est une étape essentielle, qui mérite, à la fois, votre interrogation et votre attention.

Étape 2 : Effectuer un bilan de compétences

Traditionnellement financé par le Compte Personnel de Formation (CPF), le bilan de compétences peut vous permettre de faire un état des lieux de vos compétences et de vos aptitudes. À l’aide de tests, de questionnaires et de réflexions, vous pourrez mieux identifier les pistes à fort potentiel et celles qui ne le sont pas…

Au cours de celui-ci, vous serez amené à réaliser des enquêtes métiers, auprès de professionnels, voire intégrer une entreprise pendant quelques jours. Ces contacts avec le terrain vous permettront d’éprouver vos envies et de mieux visualiser les tâches à accomplir et les conditions de travail.

Étape 3 : Suivre une formation

Une fois votre projet professionnel clairement défini, il est possible que vos diplômes d’ingénieur ne vous fournissent pas les qualifications requises pour changer de métier. Pour cela, il vous faudra rechercher une formation : vous pourrez mobiliser votre CPF pour la financer et vous pourrez choisir la formule la plus adaptée à votre situation (à distance, en présentiel, en cours du soir, par correspondance…).

Étape 4 : Savoir partir au bon moment

L’envie de reconversion peut intervenir à tout âge et à tout moment ! Bien installé dans un confort de vie, vous pouvez librement travailler à la construction de votre nouveau projet, sans avoir à démissionner. Ce n’est qu’une fois sûr du bien fondé de votre décision, qu’il vous faudra prendre contact avec vos supérieurs hiérarchiques, afin de les tenir informés de votre initiative, l’objectif étant de partir dans les meilleures conditions, pour vous comme pour vos anciens employeurs.

La Compagnie des Toits, le choix d’une reconversion réussie

Conserver les qualités techniques d’un ingénieur

Parmi les pistes envisagées pour la reconversion professionnelle d’un ingénieur, la franchise est une option à considérer, notamment une franchise comme La Compagnie des Toits, qui mettra en valeur vos qualités techniques. En effet, notre réseau est le seul réseau français à considérer le toit dans sa globalité : nos prestations couvrent l’ensemble du cycle de vie des toits professionnels, et cela, quelles que soient, son étanchéité (étanchéité bitumineuse, PVC, EPDM…), sa couverture (ardoise, tuiles, bac acier, fibro ciment…) et sa zinguerie (zinc en joint debout ou à tasseau).

Unique en France, cette approche globale du toit permet de mieux répondre à ses nombreuses fonctions : protéger, isoler, apporter de la lumière, soigner l’esthétique, supporter les équipements, circuler, produire.

Se faire accompagner et former par La Compagnie des Toits

Comme toute franchise, La Compagnie des Toits délivre une formation de départ, pour tous les nouveaux franchisés : réalisée sur 8 semaines, elle permet d’appréhender, aussi bien la dimension technique, que la dimension commerciale, inhérente à tout lancement d’entreprise.

Mais notre franchise vous accompagne aussi tout au long de l’activité, mettant son savoir-faire à votre service. Pour La Compagnie des Toits, le franchiseur a plusieurs devoirs envers ses franchisés : transmettre son expertise technique, élever la sécurité en valeur commune socle (à travers l’utilisation d’équipements adaptés et l’obtention des différentes habilitations) et enfin, demeurer un réseau, à la fois proche et réactif, au service de ses clients, mais aussi de ses membres.

Goûter à la liberté d’entreprendre en franchise

La franchise La Compagnie des Toits est une option de reconversion professionnelle idéale, pour un ingénieur : d’une part, vous conservez votre bagage technique ; d’autre part, vous vous lancez un nouveau défi, celui d’entreprendre. Indépendant, vous êtes le seul maître à bord !

Mais contrairement à un lancement classique, vous bénéficiez d’un business model éprouvé et d’un accompagnement, vous permettant de limiter les écueils et de parvenir plus rapidement à une certaine rentabilité.

Pour creuser davantage cette piste professionnelle, n’hésitez pas à consulter notre webinaire « 5 facteurs pour entreprendre en franchise », à l’issue duquel, vous aurez peut-être envie de décrocher votre téléphone, pour venir échanger avec nous !


[1] Chiffres : https://www.mines-paris.org/global/gene/link.php?doc_id=5885 + https://www.managementdelaformation.fr/la-formation-en-chiffres/2022/02/09/25-des-actifs-ont-suivi-une-reconversion-ces-5-dernieres-annees/

[2] Citation : https://www.usinenouvelle.com/editorial/ces-ingenieurs-qui-changent-de-cap.N1154617

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Comment peut-on changer de poste ?

En 2021, 68 % des cadres avaient l’intention d’opérer ce changement dans les deux ans à venir. Un chiffre porté à 86% chez les moins de 35 ans… Or, la mobilité professionnelle peut pleinement satisfaire ces envies, tout en représentant un bénéfice pour l’entreprise. Explications.

Qu’est-ce que la mobilité professionnelle ?

Quels sont les différents types de mobilités professionnelles ?

La mobilité professionnelle se définit comme un changement dans les modalités d’exercice de l’activité professionnelle d’une personne – que ce soit au niveau du poste lui-même, du secteur d’activité, d’affectation ou d’entreprise.

Renvoyant tout simplement à l’envie de changer de poste d’un salarié, elle peut s’opérer au sein d’une même entreprise ou vers une autre, car elle peut revêtir différentes formes :

  • La mobilité professionnelle interne

Il est possible de changer de poste au sein d’une même entreprise ou d’un même groupe. Cette mobilité interne peut se faire de manière horizontale ou fonctionnelle (changement d’affectation – de service, de filiale ou de mission sans changement au niveau hiérarchique) ou de manière verticale ou hiérarchique (promotion ou parfois, rétrogradation).

  • La mobilité professionnelle externe

Classiquement, il est possible de changer de poste en changeant d’entreprise. Cette mobilité externe peut se traduire par un changement de statut (à l’image du salarié à l’indépendant) ou un changement d’univers sectoriel (à l’image d’un comptable qui passe d’une agence immobilière à une entreprise informatique).

  • La mobilité professionnelle géographique

Il est possible de changer de poste en changeant de lieu de travail. Cette mobilité professionnelle géographique peut se traduire par une mutation au sein d’une même entreprise ou d’un changement d’entreprise. Si elle peut se faire à l’échelle nationale (ville, département, région) ou internationale (pays), elle réclame, dans tous les cas, de la préparation et de l’organisation, pour gérer la distance (anglais, entretien en visio…) et l’administratif, généralement associé à cette démarche (déménagement, visa, carte de séjour…).

Pour changer de poste, les avantages pour le salarié

Quelle que soit la forme qu’elle prend, la mobilité professionnelle est une solution parfaite pour changer de poste, d’équipe, d’ambiance de travail, mais aussi de cadre de vie, de salaire, etc. Son recours renforce la motivation et l’implication d’un salarié, qui y trouve (normalement) un meilleur équilibre, une source d’épanouissement et de sens.

Un salarié peut se présenter au service des Ressources Humaines (RH) pour découvrir les offres en interne. En dehors de ses heures de travail, un salarié peut aussi se rapprocher du Conseil en Évolution Professionnelle (CEP), dont il dépend : il s’agit d’un dispositif d’accompagnement gratuit et personnalisé, pour changer de poste (reconversion, reprise ou création d’activité, etc.).

Pour changer de poste, les avantages pour l’entreprise

La mobilité professionnelle présente également des avantages pour les entreprises : elle permet d’attirer de nouveaux talents, tout en conservant ceux actuels. Lorsqu’un employeur s’en soucie, il bénéficie d’une meilleure organisation interne, en facilitant les évolutions de poste et la réorganisation des équipes pour garder ses salariés. Il peut ainsi mieux gérer les besoins en effectif dans les services et redynamiser aisément leurs équipes.

Si la mobilité professionnelle est développée dans une entreprise, elle contribue à garder ses talents, et encourage de nouveau à pousser ses portes. Chacun appréciant que la structure facilite leur évolution, leur volonté d’acquérir de nouveaux savoir-faire, dans le cadre d’une transition sereine… Sans parler des économies réalisées dans les processus de recrutement…

Pourquoi faut-il y penser pour changer de poste ?

Élargir ses compétences et ses responsabilités

Bien préparée, la mobilité professionnelle interne – même transversale – permet de développer de nouvelles compétences, avec davantage de sérénité. Avec l’accord de l’entreprise, le salarié peut suivre une formation professionnelle et acquérir de nouveaux savoir-faire, pour changer de poste et s’offrir de nouvelles perspectives de carrière. Dans le cadre d’une mobilité interne verticale, il pourra évoluer dans la hiérarchie de l’entreprise, obtenir davantage de responsabilités.

Avec la mobilité interne, le salarié peut changer de poste, satisfaire ses exigences professionnelles, tout en conservant le cadre qu’il affectionne (culture d’entreprise, équipes…).

Changer de cadre de vie

Lorsqu’un salarié désire davantage changer de cadre de vie que changer de poste, il peut consulter son employeur sur les opportunités de mobilité professionnelle géographique : soit l’entreprise dispose de filiales en France ou à l’étranger, qu’il peut intégrer, soit elle accepte de recourir au télétravail pour conserver son salarié. En effet, avec le développement des outils de communication de travail à distance et la démocratisation du télétravail (accélérée par la covid-19), cette forme de mobilité est grandement facilitée…

Avec la mobilité géographique, le salarié peut développer des soft-skills (adaptabilité, ouverture d’esprit, endurance, ténacité, développement de la confiance en lui…) qui sont autant d’ingrédients rendant l’expérience riche, aussi bien pour le salarié que pour l’employeur.

Réaliser sa reconversion professionnelle

À tout moment, un salarié peut se poser des questions sur son avenir professionnel : si son entreprise ne lui donne plus satisfaction, un salarié peut se tourner vers la mobilité externe pour (re)trouver le bien-être tant recherché de nos jours. Il peut chercher le même travail dans une nouvelle structure ou profiter de ces questionnements pour changer de poste, trouver davantage de sens et d’épanouissement dans son activité professionnelle, tendre vers un métier en cohérence avec ses valeurs et ses aspirations d’aujourd’hui…

La reconversion professionnelle peut s’opérer à tout âge, mais changer de travail est une décision qui mérite réflexion et nécessite un minimum d’introspection. Peut-être serez-vous intéressé(e) par les métiers d’avenir : des secteurs gros pourvoyeurs d’emploi, qui assurent une plus grande facilité pour le démarrage d’une nouvelle vie professionnelle …

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Franchisé ou indépendant : que choisir ?

Animé par l’envie d’entreprendre, vous vous interrogez sur le meilleur statut pour vivre votre nouvelle aventure professionnelle ? Entre franchisé et indépendant, si les différences s’observent tout au long de l’activité, le choix se résume en deux mots : solidaire ou solitaire ? Explications.

Franchisé ou indépendant : quelles définitions ?

Qu’est-ce qu’une entreprise franchisée ?

Une entreprise franchisée est une entreprise indépendante qui appartient à un réseau de distribution de produits et de services (la franchise). Son activité est développée sous enseigne, sous la forme d’une délégation.

Un contrat lie le franchisé et le franchiseur, engageant les deux parties : en échange d’une contribution financière du premier, le second lui octroie le droit d’exploiter son concept, son savoir-faire et sa marque. Cela se traduit par une politique commerciale partagée, un service de formation et d’assistance pour apprendre à maîtriser le concept et l’appliquer correctement.

Qu’est-ce qu’une entreprise indépendante ?

Une entreprise indépendante est une entreprise totalement autonome puisqu’elle ne dépend que d’elle-même. Sans contrepartie et sans assistance, le chef d’entreprise jouit d’une liberté complète pour exercer son activité, sans hiérarchie supérieure.

Sans filet de sécurité, tout repose sur ses épaules : le dirigeant devra maîtriser tous les aspects inhérents à la création de l’activité et à son développement, tels que la comptabilité, la communication, la négociation commerciale, la recherche de fournisseurs, etc. 

Franchisé ou indépendant : quelles différences ?

Devenir franchisé ou indépendant est un choix primordial qui influence l’entreprise tout au long de sa vie : de la création à la cession, en passant par son développement, de menues différences se dressent entre ces deux statuts juridiques…

Franchisé ou indépendant à la création

Au lancement de son activité, un indépendant doit déjà trouver une idée d’activité et la tester. Forcément à son image, son « bébé » réclamera ensuite de l’énergie et du temps pour mettre en place sa stratégie de développement : communication, approvisionnement, positionnement, démarchage…

Totalement libre, l’indépendant pourra changer de fournisseurs et de stratégies au gré des opportunités. Naturellement, toute activité ex nihilo ne rassure pas les banquiers, contraignant l’indépendant à négocier encore plus âprement, pour décrocher ses prêts.

Au démarrage, le franchisé peut, quant à lui, s’appuyer immédiatement sur un concept d’ores et déjà éprouvé : la notoriété du réseau parle d’elle-même et convainc, presque seuls, les clients à signer… quand ce n’est pas les banquiers !

Il peut également bénéficier d’un accompagnement pour, par exemple, trouver son local et l’aménager, orchestrer sa communication locale sur différents supports et soutenir sa politique commerciale.

Franchisé ou indépendant au développement de l’entreprise

Une fois son activité lancée, un indépendant peut constamment adapter sa stratégie au développement effectif de son entreprise : en tant qu’unique décisionnaire, il peut se montrer réactif et coller au mieux à la réalité du terrain, que ce soit en termes d’approvisionnement ou d’approche marketing, par exemple.

Si son activité fonctionne bien, il est libre d’étendre sa zone d’intervention, de vendre de nouveaux services ou produits ou d’ouvrir un second point de vente.

Constamment soutenu par son franchiseur, le franchisé bénéficie d’une activité clé en main : il n’a pas à se soucier des négociations commerciales, autour des achats, de l’offre, etc. ; il s’appuie sur les services opérationnels de son réseau (aide au recrutement, développement informatique, R&D…) ; il profite des campagnes de communication de l’enseigne et de ses actions marketing renforçant la marque.

Ce confort professionnel implique de se conformer strictement au concept : le franchisé ne peut s’en écarter, il ne peut pas créer une activité secondaire et complémentaire à son activité et ne peut s’étendre au-delà de la zone d’exclusivité territoriale définie lors du contrat.

Franchisé ou indépendant à la cession

Un indépendant peut décider librement de céder son affaire, dans les termes qui lui conviennent – que ce soit de manière partielle ou totale, les fonds de commerce ou des parts de société. Il peut également choisir de confier les rênes de son entreprise à un descendant, à un salarié ou à tout autre acteur complètement extérieur.

Le franchisé est, quant à lui, obligé de trouver un repreneur qui sera approuvé par le franchiseur. Sa personnalité devant s’accorder harmonieusement avec celle des autres membres du réseau. Une fois approuvé, le nouveau franchisé devra signer un nouveau contrat, pour exploiter le concept de l’enseigne.

Franchisé ou indépendant : solidaire ou solitaire ?

Dans la mesure où les différences entre un franchisé et un indépendant jalonnent la vie d’une entreprise, le choix entre ces deux statuts implique un minimum de réflexion. Solitaire, un indépendant se construit tout seul, en toute autonomie : si le chemin est un investissement, à la fois financier, personnel et émotionnel, il se trace uniquement grâce à son impulsion, avec une bonne préparation…

Le franchisé est, quant à lui, indépendant et autonome, tout en étant accompagné. En effet, le franchiseur guide son candidat dans ses démarches et ses prises de décision, rendant son aventure plus humaine, plus solidaire. Attention, cette relation n’empêche pas le franchisé de prendre des initiatives et de travailler de manière autonome, pour développer son activité. Il demeure le patron de son entreprise !

Dès lors, la question qui peut vous éclairer sur le statut juridique à privilégier est la suivante : ai-je besoin ou non d’un accompagnement efficace et expérimenté ? Pour alimenter votre réflexion, découvrez quel profil faut-il pour ouvrir une franchise 

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Pistes de formations pour adultes en reconversion professionnelle ?

Dans tous les cas, profitez de votre statut de salarié pour prendre le temps de penser à votre projet de reconversion professionnelle et aux différentes options de formation pour adultes.

Vers qui se tourner pour son projet de reconversion professionnelle ?

Une reconversion professionnelle est personnelle

Le premier acteur de sa reconversion professionnelle est soi-même ! Le travail d’introspection est indispensable pour déterminer ce que vous recherchez, dans le cadre d’un nouvel emploi.

Parmi les motivations classiques au changement figure la quête de sens, la rémunération, l’envie d’indépendance et la poursuite d’un nouvel équilibre de vie. Toutefois, il arrive que cette envie de reconversion soit motivée par un rejet de l’emploi actuel ou le manque d’opportunités au sein de l’entreprise.

En décantant vos motivations profondes, vos motivations au travail et les qualités que vous aimeriez exploiter davantage, tout en identifiant vos contraintes familiales et financières, vous pourrez plus sereinement envisager la suite…

Bon à savoir : en cas de difficultés à conduire ses questionnements intérieurs, sachez que vous pouvez réaliser un bilan de compétences ! Avec plus de 100 000 bilans effectués chaque année, c’est une démarche courante, susceptible d’être prise en charge par le Compte Personnel de Formation !

Les organismes de conseils et de formation 

Si les grandes lignes de toute reconversion professionnelle sont impérativement dessinées par vos soins, vous n’êtes pas seul(e) dans cette nouvelle aventure. Au-delà du classique Pôle Emploi, il existe de nombreux organismes et associations, qui peuvent vous aider à changer de métier :

  • L’Association pour la Formation Professionnelle des Adultes (AFPA), pour les demandeurs d’emploi et les salariés ;
  • L’Association Pour l’Emploi des Cadres (APEC), pour les personnes ayant le statut de cadre ;
  • L’Agefiph, pour les personnes handicapées ;
  • La Chambre des métiers et de l’artisanat pour des formations techniques et générales, voire des stages pour mieux appréhender le travail ;
  • Le Conservatoire National des Arts et Métiers (CNAM), pour avoir accès à des centaines de formations variées, de courte durée ;
  • Le réseau GRETA, pour bénéficier de formations diplômantes, alternantes, qualifiantes ou modulaires, dans un établissement, dans votre entreprise ou via Internet ;
  • Le site MaFormation, pour profiter des 200 000 formations à disposition.
Les autres adultes ayant franchi le pas

La dernière impulsion nécessaire à votre reconversion professionnelle peut aussi être initiée par d’autres adultes ayant déjà franchi le pas. Sur Internet et sur les réseaux sociaux, vous pouvez lire leurs retours d’expériences, voire échanger directement avec eux.

Même s’ils œuvrent dans un secteur d’activité, radicalement différent de celui que vous envisagez, le partage de leur vécu et de leur ressenti peut vous rassurer sur vos doutes éventuels et vous apporter de précieux conseils, pour vous aider à mener votre projet à bien.

Comment financer sa reconversion avec une formation CPF ?

« Mon Compte Formation », source d’infos pour les adultes en reconversion

Naturellement, la reconversion professionnelle représente un coût, qu’il faut considérer dans votre initiative : heureusement, il existe de nombreuses formations pour adultes, potentiellement « couvertes » par votre CPF !

Accessible tout au long de la vie active et jusqu’à la retraite, ce compte est consultable sur le site moncompteformation.gouv.fr : sur cet espace, vous pouvez aisément connaître le montant de vos droits à la formation.

Bon à savoir : si vous effectuez votre formation en dehors des heures de travail, vous n’êtes pas dans l’obligation d’informer votre employeur de votre projet de reconversion professionnelle. Par contre, si vous utilisez votre CPF sur votre temps de travail, vous devez obligatoirement obtenir son accord sur le calendrier et le contenu de la formation envisagée.

Une formation CPF, au format adapté à vos disponibilités

Les formations pour adultes, finançables par le CPF, peuvent prendre différentes formes selon vos disponibilités. Elles peuvent être dispensées en présentiel dans un centre de formation, en ligne, en alternance ou en version « hybride », conjuguant des cours en présentiel et d’autres en distanciel.

Vous pouvez aussi réaliser une Validation des Acquis de l’Expérience (VAE), pour décrocher un diplôme, sans être obligé(e) de suivre une formation pour adultes : ici, vous pouvez gagner du temps, tout en obtenant les compétences requises pour exercer le nouveau métier envisagé…

Pourquoi la franchise est-elle une bonne option de reconversion professionnelle ?

Si votre reconversion professionnelle est motivée par l’envie d’entreprendre, sachez qu’il existe des formations éligibles au CPF, pour la création ou la reprise d’une entreprise. Vous pouvez aussi étudier la pertinence de la franchise : la plupart d’entre elles proposant une formation initiale, pour appréhender le nouvel univers métier.

Mais si votre reconversion est aussi motivée par la quête de sens (comme 85 % des cas), la franchise La Compagnie des Toits est sûrement la solution idéale pour vous : elle permet d’exercer un métier technique concret, gérer le cycle de vie des toits professionnels, qui a du sens, à la fois pour celui qui l’exerce et pour celui qui en bénéficie. Sans oublier qu’incarner le réseau expert des toits professionnels, est également un challenge ambitieux et motivant.

Bon à savoir : En matière de formations pour adultes, la franchise La Compagnie des Toits prévoit, au départ, 8 semaines d’accompagnements personnels vous permettant de couvrir les aspects, technique et commercial. Ensuite, la tête du réseau reste à disposition de ses franchisés, tout au long de la durée prévue au contrat. Les autres membres du réseau peuvent également partager leur expérience avec vous, répondre à vos interrogations et vos éventuels doutes, car c’est aussi le but de la franchise, ne pas démarrer son activité seul(e).

En attendant, pour nourrir vos réflexions pour votre reconversion professionnelle, découvrez déjà 10 bonnes raisons de passer du salariat à l’entrepreneuriat !

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Devenir franchisé : avantages & inconvénients

Engendrant 68,8 milliards d’euros, la franchise fait état de sa résilience, à l’image du réseau La Compagnie des Toits, qui ne cesse de s’étoffer. Voici l’occasion de montrer les avantages à devenir franchisé, tout en ayant toutefois conscience de ces quelques inconvénients…

Les 6 grands avantages du franchisé

Une transmission d’un savoir-faire

La franchise est le fruit d’une collaboration active, à la fois commerciale et juridique, entre le franchiseur et le franchisé : ici, le second peut profiter de l’expérience et du savoir-faire du premier. En qualité de partenaires (et non de concurrents), le franchiseur partage sa connaissance métier, les pièges de la profession et les solutions, qu’il a d’ores et déjà trouvées pour les éviter.

À La Compagnie des Toits, cette transmission s’opère principalement à travers une formation initiale de 8 semaines, consacrée aussi bien aux aspects techniques qu’aux aspects commerciaux et administratifs.

Un concept efficace éprouvé sur le terrain

Si l’envie d’entreprendre vous taraude, la franchise est une voie à considérer : à la satisfaction de mener sa propre activité, elle permet aussi de limiter les risques par rapport à une création d’entreprise classique et d’offrir un démarrage plus sécurisé. En effet, le franchisé bénéficie d’un modèle qui a d’ores et déjà fait ses preuves : les performances et les résultats ont déjà été expérimentés avec succès…

Pour preuve, saviez-vous que 90 % des franchises implantées sont encore en activité au bout de 5 ans, alors que le pourcentage n’est que de 50 % pour les entreprises individuelles ?

Un accompagnement opérationnel

Même s’il dirige seul son activité, un franchisé peut bénéficier d’un accompagnement tout au long du projet : avant le lancement, via l’établissement du business plan, la recherche de financement, le choix du local, etc. ; et après, via une assistance technique, des rendez-vous avec des animateurs du réseau, des conventions, des réunions, des échanges avec d’autres franchisés, etc.

À La Compagnie des Toits, cet accompagnement est assuré par la « tête de réseau », constituée d’experts métiers et le paiement de ce service, par les royalties payées par le franchisé. Souvent, l’absence de royalties dans une franchise, sous-entend l’absence d’un accompagnement.

Une notoriété d’une marque

Avec un réseau doté d’une certaine notoriété, le franchisé peut se concentrer sur le déploiement de son activité, tout en bénéficiant d’un avantage concurrentiel évident, tant au niveau de la visibilité que de la fidélisation client. En d’autres termes, la franchise offre, sans conteste, une réelle puissance d’achat et de communication, qui permet au franchisé d’espérer une croissance rapide.

En s’appuyant sur la notoriété du réseau, le franchisé peut aussi profiter d’une puissance de négociation plus forte et obtenir des produits à des prix compétitifs, sans oublier l’accès potentiel à une centrale d’achat et des conditions de livraison intéressantes.

Une dynamique de groupe

Un franchisé bénéficie, d’un côté, de la liberté d’entreprendre, comme un créateur classique, et de l’autre côté, de la force et de la dynamique d’un groupe. En d’autres termes, il est autonome, sans connaître la solitude, puisqu’il pourra toujours demander des conseils au réseau et profiter de l’expérience de chacun de ses membres.

Animé par des valeurs de partage, de solidarité, d’émulation et démultiplication des forces, le franchisé va aussi contribuer à nourrir et faire grandir ce réseau.

Une exclusivité sur un territoire donné

Dans la mesure où tout franchiseur veut développer son réseau sur d’autres territoires que le sien, il va donner l’exclusivité d’une zone à un seul franchisé. L’objectif étant de ne pas créer une concurrence sur un même secteur géographique.

À La Compagnie des Toits, le réseau n’échappe pas à cette règle : le choix de chaque franchisé est souvent dicté par son implantation sur un territoire, sa connaissance du terrain et ses connexions avec les entrepreneurs locaux.

Les 3 grands inconvénients du franchisé

Une indépendance à relativiser

À l’image d’un franchisé McDo, qui ne peut revisiter la recette du hamburger, un franchisé ne peut pas faire ce qu’il veut, quand il veut. Il doit respecter le cahier des charges du franchiseur, portant notamment sur le mobilier, l’emplacement, le catalogue produits/services… Un document établi pour que son réseau conserve une certaine cohérence. À la Compagnie des Toits, un franchisé peut suggérer une innovation : dans ces cas-là, elle est soumise aux autres franchisés, pour une prise de décision partagée

Une redevance à honorer

Tout franchisé doit s’acquitter d’une redevance auprès du franchiseur : à ce stade, il faut distinguer la redevance initiale (droit d’entrée) de la redevance permanente ou royalties, prévue tout au long de la durée du contrat. Ces sommes permettent au franchisé d’utiliser la marque et les produits/services qu’elle propose, de bénéficier de formations, de publicité gratuite, d’assistance, etc. De son côté, le franchiseur peut, avec cet argent, financer le développement de nouveaux produits et brevets pour faire évoluer le concept et le savoir-faire.

Une durée de contrat limitée 

L’article L. 330-1 du Code du commerce limite la durée du contrat entre un franchisé et le franchiseur à 10 ans. Dans les faits, la moyenne s’établit autour de 5 à 6 ans, avec une variation allant de 3 à 10 ans. Quelle que soit la durée choisie, un franchisé n’a aucune garantie de pouvoir poursuivre la collaboration à son terme.

Même s’il est absolument essentiel de connaître ces trois inconvénients, la balance penche nettement en faveur des avantages… Saviez-vous qu’à La Compagnie des Toits, la pérennité de votre entreprise est assurée avec un taux de rentabilité net 2 fois supérieur aux sociétés du bâtiment ? Bien accompagné pour les dimensions technique et commerciale), que diriez-vous de découvrir si vous avez le profil adéquat pour ouvrir une franchise ?

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