Quelle reconversion pour un cadre ?

Au-delà des individus qui ne se sentaient pas à leur place dans leur vie professionnelle, il y a désormais ceux qui veulent simplement changer de poste, s’ouvrir à une nouvelle carrière, voire, briser leur routine. Aujourd’hui, plusieurs options de reconversion s’offrent ainsi aux cadres désireux d’initier ce changement.

Pourquoi 4 cadres sur 10 envisagent-ils de changer de poste dans l’année ?

Selon l’APEC (Association Pour l’Emploi des Cadres), 40 % des cadres aspirent à changer d’entreprise dans les 12 prochains mois. Un désir de mobilité grandissant, qui touche évidemment les jeunes (20%) pour des raisons financières, mais aussi des individus en milieu de carrière (14%). Parmi ces nouvelles aspirations, 33 % des cadres interrogés envisagent même de changer complètement de métier, notamment chez les « seniors ».

À l’origine de mouvements massifs des cadres, « la crise que nous traversons depuis deux ans [qui] les a amenés à se questionner sur leur autonomie, leur mode de travail, la place qu’ils voulaient laisser à leur vie privée », précise Laure Maunoury, directrice pédagogique de Switch Collective, organisme de formation, spécialisé dans la “réorientation professionnelle”.[1] Selon elle, ces questions existaient déjà avant 2019, mais la pandémie a donné un coup d’accélérateur à leur motivation de changement et de reconversion.

Tout changement ou réorientation professionnelle s’accompagne d’un temps de réflexion, pour prendre le pouls de la situation, réaliser un bilan de compétences, confronter son projet à la réalité du marché et, le cas échéant, acquérir les compétences et connaissances supplémentaires à son exercice.

Quelles sont les options de reconversion d’un cadre ?

En fonction de la situation personnelle du cadre, ce dernier pourra envisager l’une de ces 4 options de reconversions professionnelles : un « simple » changement de poste, un changement de métier dans le même secteur d’activité, un lancement dans le monde de l’entrepreneuriat ou de la franchise ou une réorientation « utile » vers un métier manuel ou artisanal…

Option n°1 : La reconversion d’un poste de cadre à un autre

Contrairement à l’imaginaire collectif, la reconversion professionnelle n’implique pas forcément un changement radical de métier. Il est tout à fait possible, pour un cadre, de se réinventer dans un autre secteur d’activité. Une enquête de l’APEC révèle que 82 % des cadres engagés dans une reconversion professionnelle, souhaitent, avant toute chose, rompre avec leur situation actuelle et se tournent alors vers un autre secteur d’activité.

Par exemple, il peut s’agir d’un responsable commercial, à la tête d’une petite équipe, chargée de la vente de solutions informatiques, qui décide de se tourner vers le secteur des énergies renouvelables. Pour opérer ce changement, il devra acquérir des connaissances dans ce milieu, mais il pourra, d’ores et déjà, s’appuyer sur ses compétences managériales.

Option n°2 : Le changement de métier dans le même secteur d’activité

La reconversion professionnelle d’un cadre peut également se matérialiser par un changement de ligne de métier, tout en demeurant dans le même secteur d’activité. Avec cette option, il peut mettre à profit son expérience et ses connaissances du milieu, au service d’un tout autre métier. Pour ce faire, il devra certainement suivre une formation, pour acquérir les compétences dans cette nouvelle profession.

À l’image d’un responsable technique senior, évoluant dans le secteur de l’aéronautique depuis des années, qui désire se reconvertir dans l’univers du marketing… Parfaitement au fait des produits, des enjeux et des problématiques de son secteur, il pourra tirer profit de ses connaissances, pour mieux les valoriser et les commercialiser, après avoir appris les codes de son nouveau métier.

Option n°3 : L’entrepreneuriat ou la franchise

L’envie de reconversion professionnelle d’un cadre peut aussi le conduire à se lancer dans l’entrepreneuriat. L’enquête de l’APEC précise que 56 % des cadres engagés dans un changement, décident, ainsi, de se mettre à leur compte. En s’appuyant sur leur expérience, ils deviennent « freelance » ou créent leur propre structure. Au-delà des compétences-métier, ces cadres doivent souvent suivre des formations dédiées à la gestion d’entreprise, au management, à la comptabilité, à la fiscalité et/ou au marketing.

Tout en satisfaisant leur désir d’indépendance, ils peuvent aussi se tourner vers une franchise. Parmi les freins à la reconversion professionnelle, 27 % des cadres interrogés par l’APEC, redoutent l’impact de ce changement sur leur revenu financier. Avec une franchise, les cadres peuvent s’appuyer sur un « business model » éprouvé et le soutien de tout un réseau, pour monter rapidement en puissance et parvenir à retrouver une assise financière plus vite.

Option n°4 : La quête d’équilibre entre la vie professionnelle et personnelle

Conséquence directe de la crise, 37 % des cadres désireux d’entamer une reconversion professionnelle sont motivés par l’exercice d’un métier qui a davantage de sens. Aujourd’hui, l’heure n’est plus à la réussite à tout prix, à la recherche d’un salaire important ou de lourdes responsabilités, les cadres souhaitent plutôt se développer personnellement dans leur travail. Tout en se sentant plus utiles, ils cherchent, aussi, un meilleur équilibre, entre leur vie personnelle et la vie professionnelle.

Toujours selon l’enquête de l’APEC, 15 % des cadres engagés dans un changement, optent pour un métier radicalement différent de leur profession d’origine. Et pour satisfaire leur quête de sens, ils n’hésitent pas à se tourner vers des métiers manuels ou artisanaux. Ces nouvelles orientations doivent leur permettre d’être plus en lien avec la société et de s’y engager plus fortement.

Entreprendre dans le monde de l’artisanat, c’est s’ouvrir à un large panel de métiers aux univers extrêmement variés (alimentation, production, service et bâtiment). Un secteur traditionnellement dynamique (même en pleine crise sanitaire) et accessible, aussi bien par l’apprentissage, que par la reconversion professionnelle.


[1] Citation : https://courriercadres.com/reconversion-ces-cadres-qui-bifurquent/

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La reconversion idéale pour un ingénieur

Mais, une fois cette appréhension dépassée, il suffit d’étudier les autres chemins professionnels potentiels, parmi lesquels figure la solution de la franchise, qui peut être intéressante.

Pourquoi un ingénieur veut-il se reconvertir ?

Si les trois quarts des ingénieurs français (77 %) se déclarent « très satisfaits » ou « satisfaits » de leur emploi, cette catégorie socio-professionnelle est aussi celle qui passe le plus souvent à l’acte, pour changer de métier (34 %).[1]

Parmi les raisons évoquées pour une reconversion, figurent le manque d’autonomie ou de moyens, des objectifs en conflit avec leurs valeurs, le manque de temps pour réfléchir ou encore, le sentiment de ne plus se sentir utile

À l’image de Jérôme Boisneau qui a préféré « arrêter avant de finir écartelé, entre sa conscience et son travail » : après 10 ans dans l’industrie, il est désormais à la tête d’une ferme maraîchère, en permaculture. Il a « voulu changer de voie pour nourrir les gens, et surtout bien les nourrir, mais également pour se retrouver en phase avec ses valeurs écologiques ».[2]

Quelles démarches doit-il entamer ?

La reconversion n’est pas chose aisée : à la peur de l’inconnu s’ajoute la peur de la perte du confort de vie, généralement associée à la situation professionnelle d’un ingénieur. Mais, en vous donnant la permission d’explorer de nouvelles pistes, vous pourrez commuer cette insatisfaction ressentie au travail, en nouvel élan, sans, pour autant, tout remettre en cause financièrement…

Étape 1 : Formaliser ses besoins et attentes

La première étape de la reconversion consiste à pousser votre réflexion, pour faire le point sur vos envies et vos besoins. Dans votre métier d’ingénieur, quelles sont les tâches qui ne vous plaisent plus ? Parvenez-vous à concilier votre vie professionnelle et votre vie personnelle ? Disposez-vous des qualifications indispensables pour assumer le métier que vous envisagez ? Impératif, ce chemin introspectif est une étape essentielle, qui mérite, à la fois, votre interrogation et votre attention.

Étape 2 : Effectuer un bilan de compétences

Traditionnellement financé par le Compte Personnel de Formation (CPF), le bilan de compétences peut vous permettre de faire un état des lieux de vos compétences et de vos aptitudes. À l’aide de tests, de questionnaires et de réflexions, vous pourrez mieux identifier les pistes à fort potentiel et celles qui ne le sont pas…

Au cours de celui-ci, vous serez amené à réaliser des enquêtes métiers, auprès de professionnels, voire intégrer une entreprise pendant quelques jours. Ces contacts avec le terrain vous permettront d’éprouver vos envies et de mieux visualiser les tâches à accomplir et les conditions de travail.

Étape 3 : Suivre une formation

Une fois votre projet professionnel clairement défini, il est possible que vos diplômes d’ingénieur ne vous fournissent pas les qualifications requises pour changer de métier. Pour cela, il vous faudra rechercher une formation : vous pourrez mobiliser votre CPF pour la financer et vous pourrez choisir la formule la plus adaptée à votre situation (à distance, en présentiel, en cours du soir, par correspondance…).

Étape 4 : Savoir partir au bon moment

L’envie de reconversion peut intervenir à tout âge et à tout moment ! Bien installé dans un confort de vie, vous pouvez librement travailler à la construction de votre nouveau projet, sans avoir à démissionner. Ce n’est qu’une fois sûr du bien fondé de votre décision, qu’il vous faudra prendre contact avec vos supérieurs hiérarchiques, afin de les tenir informés de votre initiative, l’objectif étant de partir dans les meilleures conditions, pour vous comme pour vos anciens employeurs.

La Compagnie des Toits, le choix d’une reconversion réussie

Conserver les qualités techniques d’un ingénieur

Parmi les pistes envisagées pour la reconversion professionnelle d’un ingénieur, la franchise est une option à considérer, notamment une franchise comme La Compagnie des Toits, qui mettra en valeur vos qualités techniques. En effet, notre réseau est le seul réseau français à considérer le toit dans sa globalité : nos prestations couvrent l’ensemble du cycle de vie des toits professionnels, et cela, quelles que soient, son étanchéité (étanchéité bitumineuse, PVC, EPDM…), sa couverture (ardoise, tuiles, bac acier, fibro ciment…) et sa zinguerie (zinc en joint debout ou à tasseau).

Unique en France, cette approche globale du toit permet de mieux répondre à ses nombreuses fonctions : protéger, isoler, apporter de la lumière, soigner l’esthétique, supporter les équipements, circuler, produire.

Se faire accompagner et former par La Compagnie des Toits

Comme toute franchise, La Compagnie des Toits délivre une formation de départ, pour tous les nouveaux franchisés : réalisée sur 8 semaines, elle permet d’appréhender, aussi bien la dimension technique, que la dimension commerciale, inhérente à tout lancement d’entreprise.

Mais notre franchise vous accompagne aussi tout au long de l’activité, mettant son savoir-faire à votre service. Pour La Compagnie des Toits, le franchiseur a plusieurs devoirs envers ses franchisés : transmettre son expertise technique, élever la sécurité en valeur commune socle (à travers l’utilisation d’équipements adaptés et l’obtention des différentes habilitations) et enfin, demeurer un réseau, à la fois proche et réactif, au service de ses clients, mais aussi de ses membres.

Goûter à la liberté d’entreprendre en franchise

La franchise La Compagnie des Toits est une option de reconversion professionnelle idéale, pour un ingénieur : d’une part, vous conservez votre bagage technique ; d’autre part, vous vous lancez un nouveau défi, celui d’entreprendre. Indépendant, vous êtes le seul maître à bord !

Mais contrairement à un lancement classique, vous bénéficiez d’un business model éprouvé et d’un accompagnement, vous permettant de limiter les écueils et de parvenir plus rapidement à une certaine rentabilité.

Pour creuser davantage cette piste professionnelle, n’hésitez pas à consulter notre webinaire « 5 facteurs pour entreprendre en franchise », à l’issue duquel, vous aurez peut-être envie de décrocher votre téléphone, pour venir échanger avec nous !


[1] Chiffres : https://www.mines-paris.org/global/gene/link.php?doc_id=5885 + https://www.managementdelaformation.fr/la-formation-en-chiffres/2022/02/09/25-des-actifs-ont-suivi-une-reconversion-ces-5-dernieres-annees/

[2] Citation : https://www.usinenouvelle.com/editorial/ces-ingenieurs-qui-changent-de-cap.N1154617

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Webinaire : 5 facteurs clés pour réussir une reconversion entrepreneuriale

RÉUSSIR UNE RECONVERSION ENTREPRENEURIALE

Une étude récente a mis en évidence qu’un actif français sur deux serait concerné par la reconversion professionnelle, qu’il soit en train de l’envisager (26 %), de l’effectuer (6 %) ou l’ayant déjà réalisé (17 %).
La reconversion entrepreneuriale est une décision importante qui peut avoir un impact significatif sur votre vie professionnelle et personnelle. Pour certaines personnes, le désir de changer de carrière ou de secteur d’activité est motivé par la recherche de plus de liberté et d’autonomie, ou encore par la quête de sens.
Cependant, changer de voie professionnelle peut être complexe et angoissant, surtout lorsque l’on se lance en tant qu’entrepreneur.


Nous étudierons ensemble, les 5 éléments clés pour réussir à tout âge et le plus sereinement possible, cette nouvelle vie professionnelle :
1/ S’interroger sur ses motivations
2/ Se confronter aux réalités
3/ Se bâtir un projet entrepreneurial adapté
4/ Se faire accompagner
5/ Se lancer et avancer pas à pas

Découvrez les 5 facteurs clés pour réussir une reconversion entrepreneuriale à l’occasion d’un webinaire animé par Nicolas Legendre, président & fondateur du réseau expert des toits professionnels.

RENDEZ-VOUS LE 31 MAI À 10H

On vous donne rendez-vous le mercredi 31 mai de 10h à 11h. Inscrivez-vous dès maintenant en remplissant le formulaire ci-dessous :

À PROPOS DE LA COMPAGNIE DES TOITS

En tant que réseau expert des toits professionnels en France, La Compagnie des Toits accompagne ses franchisé(e)s vers la réussite et l’épanouissement au sein d’un marché vaste et récurrent.

Créée en 2014 puis lancée en franchise en 2020, La Compagnie des Toits gère le cycle de vie de tous les toits professionnels. Avec son approche experte et innovante, l’enseigne propose une offre de services complète au travers de 3 univers de prestations : études, interventions et maintenance.


Vous souhaitez en savoir plus sur la franchise La Compagnie des Toits ?

Contactez-nous : lien

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Reconversion professionnelle : repreneuriat ou franchise ?

Méconnues, ces options comptent pourtant de précieux atouts, notamment auprès d’entrepreneurs de 40 ans ou 50 ans.

Une reprise d’entreprise plutôt qu’une création ?

Les atouts séduisants de la reprise d’entreprise

Contrairement à la création d’entreprise, le repreneuriat s’appuie sur une structure déjà existante, avec un processus d’ores et déjà éprouvé : les appareils de production sont déjà en place et les salariés sont déjà recrutés et formés. Comme la clientèle existe aussi, l’entrepreneur peut se rémunérer plus rapidement qu’en créant une activité de zéro.

Contrairement aux idées reçues, la majorité des cédants ne se séparent pas de leur entreprise parce qu’elle rencontre des difficultés : ils désirent souvent simplement changer d’activité, capitaliser leur patrimoine ou partir en retraite. Fort de ce constat, le taux de pérennité à moyen terme du repreneuriat est nettement plus élevé qu’en création. Une confiance en l’avenir qui se matérialise également par des crédits plus faciles à obtenir. Les banques peuvent s’appuyer sur des études, des bilans, des comptes sur les résultats, pour évaluer le risque d’attribuer un prêt à la société. Enfin, le cédant peut faire bénéficier à l’entrepreneur de précieux conseils. Généralement très attaché à son entreprise, il n’hésitera pas à partager le fruit de son expérience, pour l’aider à prospérer dans le temps.

La clé ? Le pré-diagnostic de la société à reprendre

Même si le repreneuriat n’est pas un chemin tout tracé (comparaison incessante, personnel non choisi…), la clé de sa réussite dépend surtout de la société reprise. Saviez-vous qu’un repreneur peut faire jusqu’à 20 pré-diagnostics pour trouver la « bonne » entreprise ?

Un diagnostic d’entreprise consiste à regrouper les informations sur l’entreprise, estimer sa valeur, construire un business plan et organiser un montage, aussi bien juridique que financier. Pour cela, le repreneur potentiel va analyser plusieurs éléments :

  • Les moyens de l’entreprise (moyens et outils professionnels disponibles ou nécessaires au développement et au budget)
  • L’activité de l’entreprise (potentiel du marché, de la société et la compétitivité)
  • Un bilan financier (rentabilité, charges, revenus potentiels, …)
  • Un bilan humain (impact du changement de dirigeant, savoir-faire spécifique, niveau de rémunération, âge des salariés, …)
  • Un bilan juridique (contrats, clauses, …)
  • Un bilan Qualité Sécurité Environnement (QSE) (entreprise aux normes, maîtrise des risques, investissements à prévoir, …)

Après l’analyse de ces documents, l’entrepreneur peut plus facilement mettre en évidence les points forts et les points faibles du projet, puis évaluer toutes ses potentialités, pour décider d’abandonner ou de poursuivre son repreneuriat avec cette société.

Bon à savoir : Ne pas confondre diagnostic et audit d’acquisition. Ce dernier a pour objectif de confronter les éléments du premier à la réalité de l’entreprise, à l’aide d’analyses menées par des experts-conseils (experts-comptables, conseillers juridiques, …), avant de rédiger une garantie d’actif et de passif.

Une création en franchise plutôt qu’une création classique ?

Les atouts séduisants de la création en franchise

Parmi les voies de reconversion professionnelle encore trop peu explorées, mais pourtant sources de nombreux atouts, il y a la franchise ! Lorsqu’un créateur ressasse longuement son projet, naviguant constamment entre des phases de doute et de crainte, elle apporte une certaine tranquillité d’esprit

Contrairement à une création pure, les franchisés ont immédiatement des orientations pour rentabiliser leur affaire : grâce aux études de marché effectuées par le réseau franchiseur, ils peuvent connaître les attentes des clients en fonction des zones géographiques d’installation et des secteurs d’activité. Les franchisés peuvent aussi s’appuyer sur un concept éprouvé ainsi que sur l’image de marque du réseau pour attirer une clientèle spécifique. Un gage de qualité qui consolide le projet et permet aux franchisés d’obtenir plus facilement des crédits bancaires.

Attention, la réussite de toute franchise suppose, avant toute chose, d’aimer le métier ! Or, pour vendre du chocolat, il ne suffit pas de l’aimer : il faut être prêt(e) à ne pas compter ses heures les veilles de fêtes, accepter de travailler les week-ends, savoir gérer le stock des produits frais, proposer de belles vitrines, mettre la main à la pâte, etc.

La clé ? Entreprendre en tant que franchisé

Une fois porté par l’envie du métier, les atouts pour devenir franchisé plutôt qu’indépendant invitent, au moins, à les considérer :

  • La prise de risque limitée : après 5 ans d’activité, seules un peu plus de 50 % des entreprises hors franchise sont toujours actives alors que ce taux est de 85% au sein de la franchise.  Parmi les raisons des échecs en dehors de la franchise : un mauvais concept, une mauvaise gestion, une croissance trop rapide et mal maîtrisée… Avec la franchise, le concept est déjà éprouvé et les franchisés déjà présents peuvent alors transmettre leur expérience et leurs conseils aux nouveaux franchisés qui rejoignent la marque.
  • L’apport d’un vrai savoir-faire : quand un indépendant devra acquérir les connaissances par lui-même, un bon franchiseur dispense des formations pour transmettre son savoir-faire, ses méthodes, sa façon de travailler, de vendre ou de gérer son affaire.
  • L’accompagnement : Si le franchiseur se montre disponible pour répondre à toutes les questions du franchisé, il le guide pour qu’il gagne progressivement de la confiance et de l’autonomie.
  • La gestion simplifiée : en intégrant un réseau, le franchisé profite pleinement de son fonctionnement, avec des outils de gestion bien en place (suivi et objectifs de progression bien définis)

À La Compagnie des Toits, nous étudions toutes les candidatures, quel que soit le profil, dans la mesure où il est motivé par l’envie d’entreprendre. Nous proposons une formation initiale de 8 semaines, pour transmettre nos compétences techniques, commerciales et managériales. Ensuite, notre réseau est à sa disposition pour toute question ou partage d’expérience, afin de l’aider à se développer. À ce jour, tous nos franchisés sont convaincus par le concept : prenez quelques minutes pour parcourir notre brochure et prenez contact avec nous, pour en discuter davantage, qu’en pensez-vous ?

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Reconversion professionnelle : ces métiers d’avenir

Dès lors, pourquoi ne pas se créer de nouvelles opportunités dans des métiers d’avenir ? Et pourquoi ne pas les envisager en franchise pour réussir pleinement son projet ?

Qu’est-ce qu’un métier d’avenir ?

Chaque année, les journaux économiques publient la liste des métiers dits d’avenir. Elle regroupe des professions qui, soit offrent des perspectives d’évolutions intéressantes, soit recrutent massivement.

Un recrutement massif

Selon une étude de la DARES (Direction de l’Animation de la recherche, des Études et des Statistiques) et de France Stratégie, les trois grands secteurs pourvoyeurs d’emploi pour les 10 prochaines années sont :

  • Le BTP

Dans un marché où 54% de l’activité est généré par l’amélioration et l’entretien de l’existant, l’impérative rénovation des bâtiments pour répondre aux exigences des Accords de Paris. La volonté de re-centraliser les processus de production en France devraient ainsi entraîner la création de 190 000 emplois d’ici 2030 dans le BTP.

  • La santé

D’ici 2030, 1 Français sur 3 aura plus de 65 ans et 3 millions seront en situation de perte d’autonomie. Le vieillissement de la démographie française va augmenter les besoins de prise en charge de la santé.

  • Le numérique

Dynamisé par la crise de la Covid-19 avec la généralisation du télétravail, le secteur du numérique devrait recruter massivement pour offrir 600 000 postes supplémentaires d’ici 2030.

Des perspectives d’évolutions intéressantes

Quelles que soient les motivations, une reconversion professionnelle pousse à s’améliorer, à se challenger, mais ce changement peut être plus facile en bénéficiant d’un marché à fort potentiel.

Au regard du seul critère des perspectives d’évolutions, les métiers de la transition énergétique sont extrêmement porteurs. Comme en témoigne le jour du dépassement de la Terre qui est passé de la mi-décembre, en 1973 au 28 juillet, en 2022.[2] Il devient urgent de trouver une solution pour ne plus vivre autant à crédit. Là encore, le BTP peut/doit tirer son épingle du jeu — ce qui en fait potentiellement un métier d’avenir sur les 2 critères…

Avec un monde de plus en plus digitalisé, les métiers de l’informatique & cybersécurité sont également extrêmement porteurs : entre les évolutions technologiques constantes et le poids grandissant du secteur, l’expert en sécurité, l’ingénieur en intelligence artificielle et le développeur web sont définitivement des métiers d’avenir. Au même titre que les métiers du marketing digital (community manager, référenceur SEO, rédacteur web, consultant SEA…).

Pourquoi ne pas envisager la franchise dans un secteur porteur ?

Si elle attire un grand nombre de Français, la reconversion professionnelle est un cheminement personnel qui peut se heurter à différents obstacles et peurs. Mais en choisissant de la mener sous la forme d’une franchise dans un secteur porteur, plusieurs d’entre eux se lèvent spontanément…

Une reconversion professionnelle avec risques limités

Choisir le statut de franchisé pour sa reconversion professionnelle limite considérablement les risques de cette initiative :

  • La sécurité financière est presque immédiate : le franchisé bénéficie de l’expérience et du savoir-faire du franchiseur pour éviter tous les écueils d’un lancement d’activité classique.
  • La clientèle déjà existante : il bénéficie de la notoriété de la marque, avec un modèle économique solide, déjà testé, validé et optimisé par le franchiseur.
  • Les responsabilités partagées : le franchisé peut s’appuyer sur le franchiseur pour l’aider à son installation, à la vérification de ses chiffres et de son fonctionnement, pour le conseiller…
  • La liberté d’action : chaque réseau suit ses propres règles — certains offrant une grande latitude au franchisé quand d’autres la limitent.

A La Compagnie des Toits, nous construisons ensemble le contrat qui nous lie avec vous. L’objectif étant que chacun puisse s’épanouir dans cette union professionnelle. À noter que nous proposons systématiquement au franchisé une session de formation de 8 semaines pour découvrir et s’approprier les démarches techniques de notre métier et développer l’approche commerciale. Ensuite, nous restons disponibles pour accompagner le lancement de l’activité au gré des besoins et envies du franchisé.

Un réseau dans un métier d’avenir

Mieux qu’une franchise classique, La Compagnie des Toits s’inscrit aussi dans un métier d’avenir, celui du BTP et plus précisément celui des toits professionnels – ce qui lève immédiatement certaines appréhensions pour les candidats à la reconversion professionnelle : le travail ne manque pas ! En effet, en France, il existe près de 11 millions d’établissements professionnels actifs à gérer sur un marché en croissance — qu’il s’agisse d’entreprises, d’industries, de collectivités, d’administrations, de commerces, d’établissements de santé, etc. Le volume d’activité dans le domaine de la gestion et l’usage des toits est estimé à plus de 3 milliards d’euros.

Au-delà des besoins immédiats, ce secteur offre également des perspectives d’activités pérennes à forte valeur ajoutée. En effet, le toit professionnel est évolutif, il s’use face aux éléments naturels, il s’adapte face aux besoins, il doit ainsi être géré quel que soit son type ou son état. Ainsi, à La Compagnie des Toits, nous avons développé une offre de services innovante qui répond à tous les besoins du marché sur l’ensemble de la gestion du cycle de vie de tous les toits professionnels. Pour cela, notre offre s’articule autour de 3 pôles – études, interventions et maintenance — afin de garantir la qualité de notre prestation dans la durée.

Grâce à cette approche innovante, nous répondons aux enjeux des professionnels au niveau de :

  • La continuité de service du toit : protection, circulation et sécurité.
  • L’adaptation du toit aux besoins des entreprises.
  • La satisfaction des usagers autant que celle des gestionnaires.

Si vous faites partie des 93 % de Français qui ont déjà songé à la reconversion professionnelle et si vous figurez parmi les 55 % qui n’ont pas encore franchi le pas, prenez le temps de considérer l’offre de franchise de La Compagnie des Toits. Dans la mesure où nous intervenons dans un secteur porteur avec de belles perspectives d’avenir, nous disposons d’un certain nombre d’arguments pour vous convaincre de vous lancer dans l’aventure !


[1] Chiffre : https://www.nouvelleviepro.fr/actualite/839/les-francais-et-la-reconversion-professionnelle-en-2019

[2] Chiffre : https://www.wwf.fr/jour-du-depassement

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