Webinaire : 5 facteurs clés pour suivre et améliorer la rentabilité d’une entreprise

RENDEZ-VOUS LE 24 JUIN À 10H00

La rentabilité est au cœur des préoccupations de tout chef d’entreprise. Suivre efficacement les indicateurs financiers et opérationnels, identifier les leviers de croissance et optimiser les coûts sont autant d’éléments clés pour assurer la pérennité et le développement d’une activité.

Nous étudierons ensemble les points suivants :

  1. Suivre et analyser les indicateurs financiers clés
  2. Optimiser la gestion des coûts et des dépenses
  3. Développer une stratégie commerciale rentable
  4. Améliorer l’efficacité opérationnelle
  5. Maximiser la satisfaction et la fidélisation client.

Découvrez les 5 facteurs clés pour suivre et améliorer la rentabilité d’une entreprise à l’occasion d’un webinaire animé par Nicolas Legendre, président & fondateur du réseau expert des toits professionnels.

On vous donne rendez-vous le mardi 24 juin de 10h à 11h. Inscrivez-vous dès maintenant :

À PROPOS DE LA COMPAGNIE DES TOITS

En tant que réseau expert des toits professionnels en France, La Compagnie des Toits accompagne ses franchisé(e)s vers la réussite et l’épanouissement au sein d’un marché vaste et récurrent.

Créée en 2014 puis lancée en franchise en 2020, La Compagnie des Toits gère le cycle de vie de tous les toits professionnels. Avec son approche experte et innovante, l’enseigne propose une offre de services complète au travers de 3 univers de prestations : études, interventions et maintenance.


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Contactez-nous : lien

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Webinaire : 5 facteurs clés pour affirmer son leadership

RENDEZ-VOUS LE 25 FÉVRIER À 10H00

Le leadership est une compétence clé pour tout chef d’entreprise. Il permet de guider ses équipes, de prendre des décisions réfléchies et de gérer les défis avec sérénité.

Nous étudierons ensemble les points suivants :

  1. Identifier et comprendre son style de leadership
  2. Renforcer sa confiance en soi
  3. Incarner les valeurs de l’entreprise
  4. Instaurer une confiance mutuelle
  5. Permettre l’échange en toute transparence.

Découvrez les 5 facteurs clés pour affirmer son leadership à l’occasion d’un webinaire animé par Nicolas Legendre, président & fondateur du réseau expert des toits professionnels.

On vous donne rendez-vous le mardi 25 février de 10h à 11h. Inscrivez-vous dès maintenant :

À PROPOS DE LA COMPAGNIE DES TOITS

En tant que réseau expert des toits professionnels en France, La Compagnie des Toits accompagne ses franchisé(e)s vers la réussite et l’épanouissement au sein d’un marché vaste et récurrent.

Créée en 2014 puis lancée en franchise en 2020, La Compagnie des Toits gère le cycle de vie de tous les toits professionnels. Avec son approche experte et innovante, l’enseigne propose une offre de services complète au travers de 3 univers de prestations : études, interventions et maintenance.


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[Le ¼ d’heure entrepreneur] Être prêt pour entreprendre en franchise

Devenir son propre patron tout en s’appuyant sur un modèle éprouvé, c’est la promesse de la franchise. Mais réussir en tant que franchisé demande autant de préparation que de créer son entreprise seul. Alors, êtes-vous prêt pour cette aventure entrepreneuriale ?

UN FORMAT INÉDIT ET PERCUTANT : ‘‘LE ¼ D’HEURE ENTREPRENEUR’’

À La Compagnie des Toits, nous avons élaboré une série unique de webinaires express, spécialement destinés aux professionnels d’aujourd’hui et entrepreneurs de demain. En seulement 15 minutes, accédez à un condensé de conseils clairs et avisés pour réussir vos projets professionnels !

Votre intervenant : 
Nicolas LEGENDRE, fondateur et président du réseau La Compagnie des Toits

WEBINAIRE EXPRESS LE 13 NOVEMBRE À 15H00

En seulement ¼ d’heure, découvrez comment être prêt pour entreprendre en franchise.
Que vous soyez au début de votre réflexion entrepreneuriale ou sur le choix de la franchise idéale, nous vous guiderons à travers les étapes clés de l’entrepreneuriat en franchise, tout en vous offrant la possibilité d’interagir avec un expert reconnu.

On vous donne rendez-vous le mercredi 13 novembre de 15h00 à 15h15. Inscrivez-vous dès maintenant :

À PROPOS DE LA COMPAGNIE DES TOITS

En tant que réseau expert des toits professionnels en France, La Compagnie des Toits accompagne des chefs d’entreprise vers la réussite au sein d’un marché porteur à la fois vaste et récurrent.

Fondée en 2014 puis développée en réseau en 2020, La Compagnie des Toits se développe sur la base d’une vision nouvelle, considérant le toit comme un équipement stratégique qui impacte la performance de toutes les activités professionnelles. En tant que partenaire durable des entreprises ou organismes (privés ou publics), La Compagnie des Toits accompagne ses clients avec une offre de services globale dédiée à la gestion du cycle de vie des toits professionnels : Études, Interventions, Maintenance.


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[Le ¼ d’heure entrepreneur] Les étapes d’une création d’entreprise réussie

Avec une hausse de 24 % des créations d’entreprises en France depuis 2020 et plus d’un million de nouvelles entreprises en 2023, l’entrepreneuriat est en plein essor. Pourtant, réussir son projet nécessite plus que de la passion : il faut être bien préparé.

UN FORMAT INÉDIT ET PERCUTANT : ‘‘LE ¼ D’HEURE ENTREPRENEUR’’

À La Compagnie des Toits, nous avons élaboré une série unique de webinaires express, spécialement destinés aux professionnels d’aujourd’hui et entrepreneurs de demain. En seulement 15 minutes, accédez à un condensé de conseils clairs et avisés pour réussir vos projets professionnels !

Votre intervenant : 
Nicolas LEGENDRE, fondateur et président du réseau La Compagnie des Toits

WEBINAIRE EXPRESS LE 30 SEPTEMBRE À 10H30

En seulement ¼ d’heure, découvrez les étapes clés pour réussir votre création d’entreprise à l’occasion d’un webinaire animé par Nicolas Legendre, président & fondateur du réseau expert des toits professionnels.
Que vous soyez au stade de la recherche d’idées ou prêt à franchir le pas, nous vous guiderons à travers les éléments clés, tout en vous offrant la possibilité d’interagir avec un expert reconnu.

On vous donne rendez-vous le lundi 30 septembre de 10h30 à 10h45. Inscrivez-vous dès maintenant :

À PROPOS DE LA COMPAGNIE DES TOITS

En tant que réseau expert des toits professionnels en France, La Compagnie des Toits accompagne des chefs d’entreprise vers la réussite au sein d’un marché porteur à la fois vaste et récurrent.

Fondée en 2014 puis développée en réseau en 2020, La Compagnie des Toits se développe sur la base d’une vision nouvelle, considérant le toit comme un équipement stratégique qui impacte la performance de toutes les activités professionnelles. En tant que partenaire durable des entreprises ou organismes (privés ou publics), La Compagnie des Toits accompagne ses clients avec une offre de services globale dédiée à la gestion du cycle de vie des toits professionnels : Études, Interventions, Maintenance.


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Comment s’assurer d’entreprendre avec la bonne franchise ?

Mais au-delà de ces considérations techniques et financières, il est nécessaire de prolonger vos investigations un peu plus loin, pour trouver la franchise faite pour vous. En effet, s’agissant d’un engagement sur plusieurs années, cela implique de partager ses valeurs et s’assurer qu’elles soient bien en adéquation avec les vôtres.

Entreprendre en parfaite adéquation avec soi-même

Construire un projet de vie aussi bien familial que professionnel

Selon la Fédération Française de la Franchise, 47 % des franchisés ont entre 35 et 49 ans. Autrement dit, ils ont déjà connu une première expérience professionnelle, souvent dans le salariat. Il s’agit alors de prendre la mesure de l’implication attendue : le parcours de création d’entreprise est exigeant, jalonné de doutes, de hauts et de bas. Le soutien de la famille et de l’entourage est alors essentiel.

Identifier ses valeurs personnelles

Nos valeurs fondamentales définissent notre identité, orientent nos choix, inspirent la confiance par des actions et comportements cohérents, assurent notre épanouissement et construisent des relations solides. Honnêteté, compassion, créativité, indépendance, sécurité, spiritualité, stabilité, loyauté…, quelles qu’elles soient, ces valeurs sont des points d’ancrage qui permettent de faire face aux difficultés. Notez que ces valeurs peuvent évoluer au fil du temps, avec l’âge, l’expérience et les aléas de la vie.

Viser un secteur d’activité où l’on se sent bien

La réussite d’une nouvelle entreprise passe aussi par le choix du secteur d’activité. Mais il ne suffit pas d’y trouver des opportunités d’affaires, il faut aussi et surtout s’y sentir en conformité avec sa sensibilité. En d’autres termes, il faut aimer ce que l’on vend, être fier(e) de ses produits ou services. Au-delà de ce qu’un franchisé peut faire, il doit s’interroger sur ce qu’il a envie de faire – ce qui n’est pas forcément la même chose ! « En franchise, dans les erreurs de recrutement ou d’orientation, une partie est liée à l’erreur de jugement du candidat lui-même. Faire un bilan personnel est une étape essentielle », souligne Sylvain Bartolomeu, président de Franchise Management[1].

Miser sur ses compétences

Au-delà des compétences techniques et spécifiques (« hard skills »), il existe des compétences humaines et comportementales (« soft skills ») qui s’exercent dans n’importe quel secteur d’activité ou métier. Elles se regroupent en 6 grandes catégories : le personnel (être patient, courtois, optimiste…), la communication (savoir écouter, prendre la parole en public, négocier…), la réflexion (être créatif et innovant, s’adapter, se remettre en question…), l’éthique professionnelle (être organisé, être ponctuel…), le relationnel (savoir collaborer, faire preuve d’empathie…), le leadership (prendre des décisions, résoudre des conflits…). Autant d’atouts à identifier, pour essayer d’amener une nouvelle entreprise…

Choisir une franchise adaptée à ses aspirations

Adhérer aux valeurs de l’enseigne

Le choix d’une bonne franchise est dicté par la qualité de la relation franchisé / franchiseur : sans une confiance réciproque immédiate, elle ne peut se construire sur le long terme. Or, ce sentiment peut s’évaluer rapidement, dès les premiers contacts. Généralement, les franchiseurs cherchent des individus capables de préserver, voire de représenter l’ADN de la marque : ces derniers ne doivent pas être trop éloignés de la philosophie globale de la franchise, évitant ainsi le risque de la mettre en péril.

Conseil : n’hésitez pas à rencontrer plusieurs franchiseurs, pour n’en retenir ensuite que deux ou trois d’entre eux, pour les analyser et les comparer.

Vérifier la transparence du franchiseur

Après la rencontre avec la tête du réseau, il faut pouvoir interroger librement les franchisés – même sur les questions les plus embarrassantes. Tous les doutes doivent pouvoir être levés, afin que le nouveau franchisé soit bien averti des réalités du métier, avant même qu’il ne signe. Idéalement, il faut se déplacer en agence, pour mieux appréhender leur quotidien et vérifier la cohérence du discours du franchiseur sur le terrain.

Conseil : le contact des franchisés est fourni dans le DIP (Document d’Information Précontractuel), n’hésitez pas à les appeler ou leur rendre visite sur leur lieu de travail.

Évaluer la qualité des mesures d’accompagnement

Dans un même secteur d’activité, l’offre de produits est souvent standardisée, la vraie valeur ajoutée d’une enseigne se cache dans la qualité de ses services et le professionnalisme de ses équipes. Autrement dit, la qualité des mesures d’accompagnement du franchiseur est la principale clé du succès : si elle passe par l’indispensable formation initiale, elle se poursuit avec l’assistance déployée et se cultive avec l’adoption de l’esprit réseau. Ce dernier, « c’est comme un coach sportif du franchisé. L’animateur, c’est celui qui redonne de l’énergie au franchisé, quand il n’en a plus ou qui le remet en tension, quand il en a besoin », insiste Sylvain Bartolomeu[2].

Conseil : étudiez attentivement l’ensemble des options disponibles, pour comparer le niveau d’implications demandé aux franchisés et le niveau d’assistance et de service, offert par le franchiseur. Il faut privilégier un système de réciprocité, avec des engagements de part et d’autre.

Cibler le potentiel de développement et d’évolution de la franchise

Face à l’aspect inconnu d’un concept, pionnier et novateur, l’antériorité et la notoriété d’une marque, peuvent représenter un gage de sécurité. Mais le franchisé doit surtout se concentrer sur le potentiel de développement et d’évolution offert par la franchise. Par exemple, opter pour un métier d’avenir, plutôt qu’un métier englué dans un marché déjà envahi ou encore, choisir une activité construite autour d’une notion importante de service, peut conforter la pérennité de l’entreprise…

Conseil : entre la sécurité d’un concept éprouvé et l’innovation d’un concept pionnier, il faut, avant tout, orienter son choix en fonction de ses sensibilités, ses affinités et ses envies

Si une franchise répond à tous ces critères fondamentaux, il faut alors s’assurer qu’elle soit rentable – tant d’un point de vue purement mathématique (rentabilité financière, économique…) que d’un point de vue humain (turn-over, fidélisation client…). C’est la combinaison de ces deux critères, indispensables et complémentaires, qui fera le succès de la franchise considérée.  


[1] Citation : https://www.lefigaro.fr/entrepreneur/10-conseils-pour-bien-choisir-sa-franchise-20230316

[2] Citation : https://www.lefigaro.fr/entrepreneur/10-conseils-pour-bien-choisir-sa-franchise-20230316

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Établir un business plan : une étape importante pour entreprendre

Attention, il s’agit de considérer ce document comme une projection qui, en soi, ne peut garantir la réussite de sa mise en application.

Pourquoi le business plan est-il essentiel pour se lancer ?

Le business plan, pour structurer le projet

Le principal objectif du business plan est de structurer son idée d’origine, afin d’en vérifier sa viabilité, aussi bien économique que financière. Construit à partir du terrain, de vos recherches et de votre analyse, il doit prouver que l’initiative est sérieuse et réaliste.

Correctement mené, le business plan peut ainsi mener l’entrepreneur à mettre un terme à son projet : même si l’idée originelle peut être intéressante, il arrive qu’elle ne soit pas viable financièrement.

Le business plan, pour mesurer sa rentabilité

Le business plan implique la réalisation d’une étude de marché, adaptée, à la fois à son activité et à sa zone géographique, afin de déterminer l’équilibre financier de l’opération entre les coûts et les revenus. Et le cas échéant, proposer des solutions de financement.

Il arrive que la création d’un business plan révèle l’absence de rentabilité à court terme d’un projet. Dans ce cas, il s’agit de redéfinir sa stratégie et ajuster le document en conséquence – en choisissant des fournisseurs financièrement plus accessibles, en augmentant ou en réduisant le prix du produit et/ou service, en diminuant les charges, etc.

Le business plan, pour convaincre les financeurs et les partenaires

Définitivement rassurant, le business plan est également conçu pour convaincre les financeurs et partenaires de prendre part au projet. Il doit mettre en avant les atouts du projet – notamment ses avantages concurrentiels.

Support de communication indispensable à tout entrepreneur, il sert de socle aux négociations. Dans cet esprit, il est recommandé d’en rédiger autant qu’en exige le nombre de lecteurs à séduire. En effet, un banquier n’aura pas les mêmes préoccupations qu’un fournisseur ou un « business angel » (une personne qui investit de l’argent apporte ses contacts, son expérience et ses conseils).

Le business plan, pour piloter et gérer son entreprise

Construit sur une base tangible et réaliste, le business plan devient enfin un outil de pilotage et de gestion au démarrage de l’activité. Pour cela, il doit être régulièrement mis à jour, en intégrant les résultats réalisés, afin de suivre l’évolution de l’entreprise et s’assurer qu’elle suit les projections du prévisionnel. L’entrepreneur peut comparer, mois après mois, les chiffres prévisionnels et les chiffres réels. Le cas échéant, il peut prendre plus rapidement des mesures, pour corriger la trajectoire et retrouver les prévisions initiales…

Comment se présente un business plan ?

1.       L’executive summary

Indispensable à tout business plan, l’« executive summary » figure dans la partie introductive du document et vise à offrir un résumé accrocheur et de son contenu. Résolument séduisante, cette synthèse doit démontrer la capacité à créer et/ou diriger une entreprise de l’entrepreneur, la pertinence de son projet et sa préparation minutieuse. Comme son format ne doit pas dépasser une à deux pages, il convient de peser les mots, pour susciter l’intérêt du lecteur et l’encourager à poursuivre sa lecture.

2.       La présentation du projet et de l’équipe fondatrice

La première étape du business plan consiste à présenter succinctement le projet, en évoquant sa nature, les besoins identifiés et l’offre imaginée, ainsi que le potentiel de développement de l’activité. Avec la présentation de l’équipe, il s’agit de souligner la présence des compétences nécessaires pour porter ce projet à bien. Dans cet esprit, il est recommandé de mentionner le parcours de chaque membre, pour illustrer la complémentarité de l’équipe.

3.       Le volet économique du business plan

Traditionnellement, le volet économique du business plan est composé de plusieurs parties :

  • Une présentation des produits et/ou services, aisément compréhensible par un néophyte ;
  • Une présentation du « business model » retenu ;
  • Les conclusions de l’étude de marché (caractéristiques des clients potentiels, concurrents, risques…) ;
  • La stratégie commerciale envisagée (segmentation du marché, positionnement vis-à-vis de la concurrence, politique de prix…) ;
  • L’estimation du chiffre d’affaires prévisionnel ;
  • Les moyens mis en œuvre pour satisfaire ces objectifs de vente.
4.       Le volet financier du business plan

Le business plan prévoit aussi un volet financier, qui traduit les éléments de la partie économique. Variable d’un secteur d’activité à l’autre, il intègre :

  • Le tableau des investissements ;
  • Le plan de financement initial, à savoir les capitaux à réunir pour le lancement, ainsi que celui à 3 ans ;
  • Le compte de résultat pour les 3 premières années ;
  • Le plan de trésorerie sur 12 mois ;
  • Le calcul du seuil de rentabilité.
5.       Le volet juridique du business plan

Enfin, le business plan s’attarde sur le régime juridique retenu pour la nouvelle entreprise : entreprise individuelle, SASU, EURL, SAS, SARL, SCI, etc. Ce volet vise à expliquer et justifier ce choix qui déterminera les règles à suivre – que ce soit celles de création, de fonctionnement, de fiscalité ou encore, de régime social ou les règles comptables.

6.       La partie documentaire

Enfin, un business plan se conclut systématiquement par une partie documentaire, réunissant toutes les pièces justificatives, illustrant les propos inscrits dans le corps du document. Nécessaires à l’argumentation, elles sont compilées en fin de dossier, pour ne pas alourdir la lecture du business plan et respecter ses vœux de concision.

S’il n’existe pas de règle de présentation formelle, le business plan doit respecter une certaine logique, tout en étant soigné, concis, complet, clair, bien structuré et précis. À la Compagnie des Toits, nous accompagnons nos candidats-franchisés dans sa conception et son élaboration !

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Pourquoi ouvrir une entreprise dans le secteur du BTP ?

Au cœur de la stratégie de transition écologique, ces travaux spécialisés réalisent 66% de la valeur ajoutée du secteur et emploient 73% des salariés.

Le BTP, au centre de la stratégie de transition écologique

L’empreinte carbone de la chaîne de valeur du bâtiment

Face au défi du changement climatique, une réponse collective s’impose : au-delà de l’impérative prise de conscience de la situation, une mise à l’agenda doit s’effectuer rapidement pour inscrire un programme d’action et de transformation de nos activités, en profondeur. Or, le secteur du bâtiment figure en première ligne des changements à opérer dans les plus brefs délais : en 2019, son empreinte carbone représentait 25% de celle de la France par an ! Sur les 153 millions de tonnes (Mt) de CO2 annuels, 103 (67%) provenaient de l’exploitation des bâtiments et 50 (33%) des produits de construction et des équipements.

Dans le détail, 75 millions de tonnes de CO2 concernent les émissions liées aux consommations d’énergie (incluant partiellement l’utilisation de produits domestiques), 8 Mt celles de gaz fluorés et 20 Mt celles relatives à l’usage de l’électricité, ainsi que des réseaux de chaud/froid provenant de réseaux urbains. Le poids de cette empreinte carbone pèse à 60% sur le secteur résidentiel et 40% sur le tertiaire.

Concernant les produits de construction et les équipements, les 50 Mt sont issus de leur extraction, leur fabrication, leur transport, leur mise en œuvre, leur renouvellement et la gestion des déchets. 80% des émissions comptabilisées sur ce segment, sont imputables aux constructions neuves et 20% à la rénovation.

Le plan de décarbonation du bâtiment

Fort émetteur de gaz à effet de serre, en France, le bâtiment est au cœur du plan de décarbonation, prévu par l’article 301 de la loi « Climat et Résilience » : l’objectif est de réduire de 48% les émissions du secteur d’ici 2030 et d’atteindre une décarbonisation quasi complète à l’horizon 2050.

Pour y parvenir, la feuille de route du gouvernement propose de s’appuyer sur 25 leviers répartis en 5 axes :

  • La réduction de l’impact de la production des composants du bâtiment : standardiser les composants bas carbonés, s’appuyer sur des ressources et solutions locales, optimiser la durabilité, le réemploi et le recyclage des composants…
  • Une construction du neuf exemplaire : étendre le champ de la Réglementation Environnementale RE2020, optimiser chaque m² construit, favoriser la surélévation des bâtiments, plutôt que l’extension, ainsi que la végétalisation du bâti…
  • L’amélioration de la performance de l’existant : renforcer les exigences, encourager la massification de la rénovation, viser le niveau de consommation BBC, instaurer un suivi et des contrôles réguliers, pendant les travaux et lors de l’exploitation…
  • La sobriété dans l’usage des bâtiments : développer la culture de l’exploitation et de l’usage sobre et bas carbone, déployer des solutions techniques, pour réduire sa consommation énergétique, favoriser la maintenance régulière, pour améliorer les performances…
  • Le déploiement de mesures transverses : renforcer et rendre plus visibles les dispositifs financiers d’aides, favoriser la production des énergies renouvelables et les systèmes de récupérations d’énergie, privilégier la préfabrication, adapter les parcours de formation, aussi bien initiale que continue…

Les métiers d’avenir du bâtiment

Le large éventail de métiers dans le BTP

Éclectique, le secteur du BTP rassemble des métiers aussi nombreux que variés : carreleur-mosaïste, charpentier bois, constructeur en béton, couvreur, étancheur, électricien, frigoriste, maçon, menuisier, peintre décorateur, plâtrier-plaquiste, tailleur de pierre, plombier-chauffagiste, etc.

Des professions accessibles avec un Certificat d’Aptitude Professionnelle (CAP), un Brevet d’Études Professionnelles (BEP), un Baccalauréat, un Brevet de Technicien Supérieur (BTS) ou un titre spécifique. Chaque corps de métier doit disposer d’une certification appropriée, à l’image d’un électricien, avec un CAP ou BEP en électricité.

Dans le cadre d’une reconversion, la loi autorise les entrepreneurs, qui ne disposent pas du diplôme requis, à exercer, s’il peut justifier, d’au moins 3 années d’expérience dans le domaine.

Les métiers verdissant le bâtiment

Artisans, ouvriers, ingénieurs, travaillant sur un chantier, dans un atelier ou dans un bureau, le BTP séduit un large public. Aujourd’hui, la montée en puissance des chantiers de rénovation énergétique, encouragée par le gouvernement, stimule particulièrement ce marché, tout en satisfaisant la « quête de sens » au cœur des objectifs de reconversion.

Le bâtiment propose des métiers variés, manuels, créatifs, techniques et collaboratifs, dans lesquels la routine a peu de place. En intervenant sur une construction, ces professionnels contribuent à améliorer le cadre de vie de ses occupants : du conseiller en rénovation énergétique, aux entreprises qui agissent dessus, le BTP s’inscrit totalement dans la mouvance professionnelle actuelle.

La franchise La Compagnie des Toits

La Compagnie des Toits fait partie des nombreuses activités spécialisées du BTP qui contribuent à verdir le secteur et l’aider à atteindre les objectifs de la loi « Climat et Résilience ». Le saviez-vous ? Le toit est, généralement, la plus grande source de déperdition, dans les bâtiments professionnels !

Organisée en franchise, elle dispense son savoir-faire au futur franchisé, pour accompagner le lancement de son activité, mais elle reste également à ses côtés, au cours des premières années. Avec ce format, vous pouvez profiter de l’indépendance d’un chef d’entreprise, tout en jouissant d’une approche solidaire et constructive, autour du réseau La Compagnie des Toits, afin de soutenir le développement de votre activité.

Extrêmement prisée dans les voies de reconversion, la franchise dans le BTP est un combo gagnant, vous bénéficiez à la fois des atouts de ce type d’entrepreneuriat et d’un secteur dynamique et résilient.

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Entreprendre dans l’artisanat, un choix judicieux

Nombreux métiers sont indispensables à la société et recrutent constamment — ce qui constitue une voie attractive, accessible, via l’apprentissage ou par reconversion professionnelle.

Que sont les métiers d’artisanat ?

Qu’est-ce que l’artisanat ?

Selon l’INSEE, « l’artisanat regroupe les personnes physiques ou morales qui n’emploient pas plus de 10 salariés et qui exercent, à titre principal ou secondaire, une activité professionnelle indépendante de production, de transformation, de réparation ou de prestation de services, relevant de l’artisanat et figurant sur une liste établie par décret en Conseil d’État. »[1]

Ainsi, bien que l’artisanat sous-entende, dans l’imaginaire collectif, une activité manuelle attachée aux métiers traditionnels, la réalité est toute autre, puisqu’un chauffeur VTC, un contrôleur technique automobile ou encore, un ambulancier figurent également dans la liste officielle de l’État.

Quels sont les secteurs de l’artisanat ?

À l’origine de 510 activités différentes, les 250 métiers de l’artisanat sont répartis en 4 grands secteurs (importance en pourcentage) :

  • L’alimentation (11 %) : boulangerie-pâtisserie, fabrication de glaces et sorbets, fabrication de produits laitiers, transformation de viande, charcuterie, conservation et transformation de fruits et légumes… ;
  • La production (12 %) : fabrication d’articles textiles, de sport, de jeux, de jouets, d’instruments médicaux, d’optique, d’instruments de musique, de matériel agricole, d’articles d’horlogerie, de meubles, taxidermie, récupération… ;
  • Les services (36 %) : ambulances, coiffure, compositions florales, contrôle technique, déménagement, décoration, soins de beauté, taxis et voitures de remise, réparation automobile, ramonage…
  • Le bâtiment (40 %) : aménagement, agencement et finition, couverture, maçonnerie, menuiserie, serrurerie, orpaillage, préparation des sites et terrassement, travaux sous-marins de forage, travaux d’installation électrique et d’isolation… ;

Bon à savoir : les experts des agences La Compagnie des Toits sont des artisans, conformément à la définition de l’INSEE.

Quelles sont les opportunités du secteur ?

Un secteur dynamique qui ne connaît pas la crise

Selon le dernier baromètre de l’Institut Supérieur des Métiers (ISM), le quart du 1 million d’entreprises créées en 2021, s’est effectué dans l’artisanat : une hausse record de 13 % par rapport à 2019, avant la crise de la covid-19.

Pour Dominique Métayer, le président de l’organisation patronale U2P (Union des entreprises de proximité), « non seulement la création d’entreprises artisanales n’a pas baissé, au cours de la crise sanitaire, mais elle est extrêmement dynamique. Contrairement à certaines idées reçues, l’artisanat est un secteur où l’on entreprend plus qu’ailleurs, où l’on prend des risques »[2].

Une activité à forte implication

À l’image de toute initiative où vous êtes le seul maître à bord, entreprendre dans l’artisanat vous fait endosser des responsabilités, mais est aussi source de stress. En effet, la bonne santé de votre entreprise implique d’assumer seul l’ensemble de ses fonctions — à savoir, produire, vendre, communiquer, gérer, manager, etc. Sans oublier les imprévus inhérents à toute activité professionnelle. Un artisan, comme tout chef d’entreprise, doit parvenir à maintenir l’équilibre entre la performance et le bien-être. Parmi les clés d’une certaine sérénité, il y a le fait d’accepter d’être vulnérable, d’apprendre à gérer son stress et de faire preuve d’autocompassion.

Au-delà de la dimension psychologique de cette entreprise, l’une des particularités des métiers de l’artisanat est son investissement physique. Certaines activités, notamment dans le bâtiment, impliquent le port de charges lourdes et le travail en extérieur en toutes saisons, générant ainsi des risques, qu’il faut bien savoir évaluer, avant de se lancer pour mieux s’y préparer (troubles musculosquelettiques, risques électriques, risques de chute, risques de coupure ou de brûlure avec les outils…).

Comme toute entreprise, l’activité artisanale réclame une grosse implication personnelle, pour rester en phase avec les nouveautés et faire évoluer son métier. Il s’agit donc de bien gérer l’équilibre entre vie personnelle et vie professionnelle. Avec, en récompense, la satisfaction d’être le premier bénéficiaire du fruit de son travail !

Comment entreprendre dans l’artisanat ?

Des métiers accessibles via l’apprentissage

Les métiers de l’artisanat peuvent s’appréhender, dès le plus jeune âge, par la voie de l’apprentissage : âgé de 16 à 29 ans, un apprenti alterne une formation pratique, en entreprise et une formation théorique, dans un Centre de formation d’apprentis (CFA). Cela suppose simplement de trouver une entreprise d’accueil et une place en CFA, pour signer un contrat d’apprentissage. À noter que le statut d’apprenti ne sera entériné, qu’après avoir été reconnu apte à l’exercice du métier, via une visite médicale d’embauche.

L’entrée en apprentissage peut s’opérer au-delà des 29 ans dans certains cas — notamment pour les personnes ayant un projet de création ou de reprise d’entreprise, suite à une rupture de contrat pour une raison indépendante de l’apprenti.

Des métiers accessibles via la reconversion

Si l’attrait des métiers de l’artisanat arrive plus tardivement, il est toujours possible d’y entrer par la voie de la reconversion professionnelle. Avec la crise sanitaire, de nombreux cadres et ingénieurs, ont éprouvé le besoin de changer de métier : « la plupart cherchent à être en contact direct avec la matière et se lancent dans les métiers du bois, l’ébénisterie, la boucherie, la pâtisserie… » souligne Élisabeth Detry, présidente de la CMA Île-de-France.[3]

Autre observation des tendances actuelles, « les femmes se reconvertissent plutôt dans les métiers de l’artisanat d’art […] Nous en voyons aussi se reconvertir dans d’autres secteurs, comme le bâtiment. Catherine Guerniou a, par exemple, créé une entreprise de fabrication et de pose de fenêtres, dans le Val-de-Marne », précise encore la spécialiste. Depuis 30 ans, la part des femmes chefs d’entreprise et des apprenties est passée de 11 %, en 1984 à 23 %, aujourd’hui, notamment dans les métiers traditionnellement réservés aux hommes. Une évolution significative, qui démontre que l’artisanat n’est pas réservé aux hommes !


[1] Citation : https://www.insee.fr/fr/metadonnees/definition/c1137

[2] Citation : https://www.lesechos.fr/economie-france/social/record-de-creations-dentreprises-dans-lartisanat-en-2021-1413792

[3] Citation : https://www.studyrama.com/pro/emploi/outplacement-reconversion/comment-se-reconvertir-dans-les-metiers-de-l-artisanat-22298.html

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Pourquoi entreprendre avec une franchise dans le bâtiment ?

À titre d’exemple, La Compagnie des Toits illustre cette tendance de fond au travers d’une croissance et d’un « business model » particulièrement pérennes.

Le bâtiment, un secteur stable et en évolution positive

Raison n° 1 : L’habitat, un des besoins primaires de la pyramide de Maslow

Poids lourd de l’économie française, le secteur du bâtiment regroupe plusieurs activités, allant de la construction à la rénovation, en passant par l’isolation, les fenêtres et la gestion des toits. Quelle que soit la nature de l’activité menée dans le BTP, l’habitat reste une valeur refuge pour les Français : après les besoins physiologiques identifiés dans la célèbre pyramide de Maslow (manger, dormir, se vêtir), il vient satisfaire le besoin de sécurité. Selon elle, tout individu doit satisfaire chaque niveau, avant de passer au suivant : dès lors, avoir un logement est une étape plus essentielle qu’avoir des amis (besoin d’appartenance), qu’avoir la confiance de ses amis (besoin d’estime) et savoir s’écouter (besoin d’accomplissement).

Raison n° 2 : Un marché résilient

Bousculé par la crise de la covid-19, le marché du bâtiment a enregistré une chute historique de son activité de -15,2 %, essentiellement due au confinement strict de mars 2020 et l’arrêt des chantiers. Sans lui, la Fédération Française du Bâtiment estime que le recul n’aurait été que de -4,6 %.

Portée par des investissements publics qui ont permis au secteur de rebondir rapidement pour retrouver son niveau d’avant-crise : son chiffre d’affaires était en 2021 de 149 milliards d’euros, soit 1 milliard de plus qu’en 2019. Malgré les effets de la guerre en Ukraine et la crise énergique, l’activité économique fait preuve de résilience…

Raison n° 3 : La politique d’accompagnement de l’État

Depuis quelques années, le secteur du bâtiment bénéficie d’une politique d’accompagnement de l’État français, qui soutient positivement son activité. Compte-tenu du contexte inflationniste actuel, ces prêts allégés divers, ces dispositifs de défiscalisation et ces aides à la rénovation, viennent stimuler activement la demande.

À titre d’exemple, l’État a développé un certain nombre d’aides écologiques pour les entreprises : un soutien financier via l’ADEME (Agence de la transition écologique), un prêt Eco-Energie (PEE) proposé par BPIFrance jusqu’à 100 000 €, le dispositif des Certificats d’Économies d’Énergie (CEE), un crédit impôt pour la rénovation énergétique des locaux des TPE et PME, etc.

L’excellente dynamique bâtiment et franchise

Raison n° 4 : Un secteur qui fait croître les franchises

Depuis quelques années, la franchise est un « business model » qui a le vent en poupe : la Fédération Française de la Franchise (FFF) fait état d’une progression de plus de 30 % en l’espace de 10 ans. En 2022, elle confirme sa solidité avec ses 1927 réseaux, regroupant près de 84 500 franchisés et générant un chiffre d’affaires de plus de 76 milliards d’euros.[1]

Les avantages de la franchise ne peuvent être étrangers à cet engouement : une marque et un savoir-faire éprouvés, ainsi qu’une assistance permanente du réseau de franchise, contribuent notablement à réduire les risques de la nouvelle entreprise.

Raison n° 5 : Autant de spécialisations que d’opportunités

Ouvrir une franchise dans le bâtiment et l’habitat, c’est profiter d’un large éventail de spécialisations et d’opportunités : plombiers, électriciens, menuisiers, maçons, couvreurs, charpentiers… De nombreux corps de métier et talents soutiennent la bonne santé du bâtiment.

La plupart des franchises font le choix de se spécialiser dans un aspect précis, afin de proposer un service à haute valeur ajoutée et assurer leur compétitivité. En effet, en limitant leur champ d’intervention à une gamme de services circonscrite, elles peuvent rationaliser leur production, former leurs travailleurs à des processus spécifiques, pour gagner en efficience et séduire les clients par leurs exceptionnels résultats.

Raison n° 6 : Le modèle économique parfait pour réussir

Entreprendre en indépendant, c’est opter pour un cheminement en solitaire, en toute autonomie ; entreprendre en franchise, c’est miser sur l’indépendance et l’autonomie, tout en étant accompagné. Le saviez-vous ? 90 % des franchises dépassent la barre des 2 ans d’activité, ce qui n’est pas le cas dans la création d’entreprise (à peine 10% dépassent le cap des deux ans d’existence).

Au-delà de ces belles perspectives, si la franchise lève de nombreux freins à l’entrepreneuriat classique, le secteur du bâtiment renforce ses atouts. Cette excellente dynamique apporte aux entreprises réussite et succès.

L’exemple de La Compagnie des Toits

Depuis près de 10 ans, La Compagnie des Toits concentre son activité sur la gestion des toits professionnels : spécialisée sur cette niche, elle a su développer un ensemble de services répondant aux enjeux de ses clients. Ceux-ci s’articulent autour des études, des interventions et de la maintenance.

Pour dresser le portrait rapide de La Compagnie des Toits en chiffres et constater objectivement sa croissance[2] :

  • 3 milliards d’euros annuels de potentiel d’activité estimé en France sur ce marché.
  • 1 million d’euros de CA annuel, après quatre années d’activité.
  • 70 % de taux de récurrence business, grâce à un marché de besoins résilients.
  • Un taux de rentabilité 2 fois supérieur aux sociétés du bâtiment.

Aujourd’hui, son positionnement spécifique et son mode de développement en réseau initié fin 2020 expliquent la croissance de la franchise La Compagnie des Toits : à ce titre, elle vient d’achever la formation initiale de sa 5e promo de franchisés, accompagnant ainsi l’ouverture de 4 agences sur le territoire national, élevant ainsi à 15 le nombre d’agences en France.

Si, comme eux, vous désirez vous lancer dans l’aventure de l’entrepreneuriat en franchise et participer activement au développement du réseau La Compagnie des Toits, rien de plus simple : prenez contact avec nous et discutons-en !


[1] Source : https://www.franchise-fff.com/franchise/les-chiffres-cles

[2] Source : https://www.observatoiredelafranchise.fr/creation-entreprise/franchise-la-compagnie-des-toits-4767.htm

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Webinaire : 5 facteurs clés pour réussir une reconversion entrepreneuriale

RÉUSSIR UNE RECONVERSION ENTREPRENEURIALE

Une étude récente a mis en évidence qu’un actif français sur deux serait concerné par la reconversion professionnelle, qu’il soit en train de l’envisager (26 %), de l’effectuer (6 %) ou l’ayant déjà réalisé (17 %).
La reconversion entrepreneuriale est une décision importante qui peut avoir un impact significatif sur votre vie professionnelle et personnelle. Pour certaines personnes, le désir de changer de carrière ou de secteur d’activité est motivé par la recherche de plus de liberté et d’autonomie, ou encore par la quête de sens.
Cependant, changer de voie professionnelle peut être complexe et angoissant, surtout lorsque l’on se lance en tant qu’entrepreneur.


Nous étudierons ensemble, les 5 éléments clés pour réussir à tout âge et le plus sereinement possible, cette nouvelle vie professionnelle :
1/ S’interroger sur ses motivations
2/ Se confronter aux réalités
3/ Se bâtir un projet entrepreneurial adapté
4/ Se faire accompagner
5/ Se lancer et avancer pas à pas

Découvrez les 5 facteurs clés pour réussir une reconversion entrepreneuriale à l’occasion d’un webinaire animé par Nicolas Legendre, président & fondateur du réseau expert des toits professionnels.

RENDEZ-VOUS LE 31 MAI À 10H

On vous donne rendez-vous le mercredi 31 mai de 10h à 11h. Inscrivez-vous dès maintenant en remplissant le formulaire ci-dessous :

À PROPOS DE LA COMPAGNIE DES TOITS

En tant que réseau expert des toits professionnels en France, La Compagnie des Toits accompagne ses franchisé(e)s vers la réussite et l’épanouissement au sein d’un marché vaste et récurrent.

Créée en 2014 puis lancée en franchise en 2020, La Compagnie des Toits gère le cycle de vie de tous les toits professionnels. Avec son approche experte et innovante, l’enseigne propose une offre de services complète au travers de 3 univers de prestations : études, interventions et maintenance.


Vous souhaitez en savoir plus sur la franchise La Compagnie des Toits ?

Contactez-nous : lien

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