Reconversion professionnelle : repreneuriat ou franchise ?

Méconnues, ces options comptent pourtant de précieux atouts, notamment auprès d’entrepreneurs de 40 ans ou 50 ans.

Une reprise d’entreprise plutôt qu’une création ?

Les atouts séduisants de la reprise d’entreprise

Contrairement à la création d’entreprise, le repreneuriat s’appuie sur une structure déjà existante, avec un processus d’ores et déjà éprouvé : les appareils de production sont déjà en place et les salariés sont déjà recrutés et formés. Comme la clientèle existe aussi, l’entrepreneur peut se rémunérer plus rapidement qu’en créant une activité de zéro.

Contrairement aux idées reçues, la majorité des cédants ne se séparent pas de leur entreprise parce qu’elle rencontre des difficultés : ils désirent souvent simplement changer d’activité, capitaliser leur patrimoine ou partir en retraite. Fort de ce constat, le taux de pérennité à moyen terme du repreneuriat est nettement plus élevé qu’en création. Une confiance en l’avenir qui se matérialise également par des crédits plus faciles à obtenir. Les banques peuvent s’appuyer sur des études, des bilans, des comptes sur les résultats, pour évaluer le risque d’attribuer un prêt à la société. Enfin, le cédant peut faire bénéficier à l’entrepreneur de précieux conseils. Généralement très attaché à son entreprise, il n’hésitera pas à partager le fruit de son expérience, pour l’aider à prospérer dans le temps.

La clé ? Le pré-diagnostic de la société à reprendre

Même si le repreneuriat n’est pas un chemin tout tracé (comparaison incessante, personnel non choisi…), la clé de sa réussite dépend surtout de la société reprise. Saviez-vous qu’un repreneur peut faire jusqu’à 20 pré-diagnostics pour trouver la « bonne » entreprise ?

Un diagnostic d’entreprise consiste à regrouper les informations sur l’entreprise, estimer sa valeur, construire un business plan et organiser un montage, aussi bien juridique que financier. Pour cela, le repreneur potentiel va analyser plusieurs éléments :

  • Les moyens de l’entreprise (moyens et outils professionnels disponibles ou nécessaires au développement et au budget)
  • L’activité de l’entreprise (potentiel du marché, de la société et la compétitivité)
  • Un bilan financier (rentabilité, charges, revenus potentiels, …)
  • Un bilan humain (impact du changement de dirigeant, savoir-faire spécifique, niveau de rémunération, âge des salariés, …)
  • Un bilan juridique (contrats, clauses, …)
  • Un bilan Qualité Sécurité Environnement (QSE) (entreprise aux normes, maîtrise des risques, investissements à prévoir, …)

Après l’analyse de ces documents, l’entrepreneur peut plus facilement mettre en évidence les points forts et les points faibles du projet, puis évaluer toutes ses potentialités, pour décider d’abandonner ou de poursuivre son repreneuriat avec cette société.

Bon à savoir : Ne pas confondre diagnostic et audit d’acquisition. Ce dernier a pour objectif de confronter les éléments du premier à la réalité de l’entreprise, à l’aide d’analyses menées par des experts-conseils (experts-comptables, conseillers juridiques, …), avant de rédiger une garantie d’actif et de passif.

Une création en franchise plutôt qu’une création classique ?

Les atouts séduisants de la création en franchise

Parmi les voies de reconversion professionnelle encore trop peu explorées, mais pourtant sources de nombreux atouts, il y a la franchise ! Lorsqu’un créateur ressasse longuement son projet, naviguant constamment entre des phases de doute et de crainte, elle apporte une certaine tranquillité d’esprit

Contrairement à une création pure, les franchisés ont immédiatement des orientations pour rentabiliser leur affaire : grâce aux études de marché effectuées par le réseau franchiseur, ils peuvent connaître les attentes des clients en fonction des zones géographiques d’installation et des secteurs d’activité. Les franchisés peuvent aussi s’appuyer sur un concept éprouvé ainsi que sur l’image de marque du réseau pour attirer une clientèle spécifique. Un gage de qualité qui consolide le projet et permet aux franchisés d’obtenir plus facilement des crédits bancaires.

Attention, la réussite de toute franchise suppose, avant toute chose, d’aimer le métier ! Or, pour vendre du chocolat, il ne suffit pas de l’aimer : il faut être prêt(e) à ne pas compter ses heures les veilles de fêtes, accepter de travailler les week-ends, savoir gérer le stock des produits frais, proposer de belles vitrines, mettre la main à la pâte, etc.

La clé ? Entreprendre en tant que franchisé

Une fois porté par l’envie du métier, les atouts pour devenir franchisé plutôt qu’indépendant invitent, au moins, à les considérer :

  • La prise de risque limitée : après 5 ans d’activité, seules un peu plus de 50 % des entreprises hors franchise sont toujours actives alors que ce taux est de 85% au sein de la franchise.  Parmi les raisons des échecs en dehors de la franchise : un mauvais concept, une mauvaise gestion, une croissance trop rapide et mal maîtrisée… Avec la franchise, le concept est déjà éprouvé et les franchisés déjà présents peuvent alors transmettre leur expérience et leurs conseils aux nouveaux franchisés qui rejoignent la marque.
  • L’apport d’un vrai savoir-faire : quand un indépendant devra acquérir les connaissances par lui-même, un bon franchiseur dispense des formations pour transmettre son savoir-faire, ses méthodes, sa façon de travailler, de vendre ou de gérer son affaire.
  • L’accompagnement : Si le franchiseur se montre disponible pour répondre à toutes les questions du franchisé, il le guide pour qu’il gagne progressivement de la confiance et de l’autonomie.
  • La gestion simplifiée : en intégrant un réseau, le franchisé profite pleinement de son fonctionnement, avec des outils de gestion bien en place (suivi et objectifs de progression bien définis)

À La Compagnie des Toits, nous étudions toutes les candidatures, quel que soit le profil, dans la mesure où il est motivé par l’envie d’entreprendre. Nous proposons une formation initiale de 8 semaines, pour transmettre nos compétences techniques, commerciales et managériales. Ensuite, notre réseau est à sa disposition pour toute question ou partage d’expérience, afin de l’aider à se développer. À ce jour, tous nos franchisés sont convaincus par le concept : prenez quelques minutes pour parcourir notre brochure et prenez contact avec nous, pour en discuter davantage, qu’en pensez-vous ?

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Franchisé ou indépendant : que choisir ?

Animé par l’envie d’entreprendre, vous vous interrogez sur le meilleur statut pour vivre votre nouvelle aventure professionnelle ? Entre franchisé et indépendant, si les différences s’observent tout au long de l’activité, le choix se résume en deux mots : solidaire ou solitaire ? Explications.

Franchisé ou indépendant : quelles définitions ?

Qu’est-ce qu’une entreprise franchisée ?

Une entreprise franchisée est une entreprise indépendante qui appartient à un réseau de distribution de produits et de services (la franchise). Son activité est développée sous enseigne, sous la forme d’une délégation.

Un contrat lie le franchisé et le franchiseur, engageant les deux parties : en échange d’une contribution financière du premier, le second lui octroie le droit d’exploiter son concept, son savoir-faire et sa marque. Cela se traduit par une politique commerciale partagée, un service de formation et d’assistance pour apprendre à maîtriser le concept et l’appliquer correctement.

Qu’est-ce qu’une entreprise indépendante ?

Une entreprise indépendante est une entreprise totalement autonome puisqu’elle ne dépend que d’elle-même. Sans contrepartie et sans assistance, le chef d’entreprise jouit d’une liberté complète pour exercer son activité, sans hiérarchie supérieure.

Sans filet de sécurité, tout repose sur ses épaules : le dirigeant devra maîtriser tous les aspects inhérents à la création de l’activité et à son développement, tels que la comptabilité, la communication, la négociation commerciale, la recherche de fournisseurs, etc. 

Franchisé ou indépendant : quelles différences ?

Devenir franchisé ou indépendant est un choix primordial qui influence l’entreprise tout au long de sa vie : de la création à la cession, en passant par son développement, de menues différences se dressent entre ces deux statuts juridiques…

Franchisé ou indépendant à la création

Au lancement de son activité, un indépendant doit déjà trouver une idée d’activité et la tester. Forcément à son image, son « bébé » réclamera ensuite de l’énergie et du temps pour mettre en place sa stratégie de développement : communication, approvisionnement, positionnement, démarchage…

Totalement libre, l’indépendant pourra changer de fournisseurs et de stratégies au gré des opportunités. Naturellement, toute activité ex nihilo ne rassure pas les banquiers, contraignant l’indépendant à négocier encore plus âprement, pour décrocher ses prêts.

Au démarrage, le franchisé peut, quant à lui, s’appuyer immédiatement sur un concept d’ores et déjà éprouvé : la notoriété du réseau parle d’elle-même et convainc, presque seuls, les clients à signer… quand ce n’est pas les banquiers !

Il peut également bénéficier d’un accompagnement pour, par exemple, trouver son local et l’aménager, orchestrer sa communication locale sur différents supports et soutenir sa politique commerciale.

Franchisé ou indépendant au développement de l’entreprise

Une fois son activité lancée, un indépendant peut constamment adapter sa stratégie au développement effectif de son entreprise : en tant qu’unique décisionnaire, il peut se montrer réactif et coller au mieux à la réalité du terrain, que ce soit en termes d’approvisionnement ou d’approche marketing, par exemple.

Si son activité fonctionne bien, il est libre d’étendre sa zone d’intervention, de vendre de nouveaux services ou produits ou d’ouvrir un second point de vente.

Constamment soutenu par son franchiseur, le franchisé bénéficie d’une activité clé en main : il n’a pas à se soucier des négociations commerciales, autour des achats, de l’offre, etc. ; il s’appuie sur les services opérationnels de son réseau (aide au recrutement, développement informatique, R&D…) ; il profite des campagnes de communication de l’enseigne et de ses actions marketing renforçant la marque.

Ce confort professionnel implique de se conformer strictement au concept : le franchisé ne peut s’en écarter, il ne peut pas créer une activité secondaire et complémentaire à son activité et ne peut s’étendre au-delà de la zone d’exclusivité territoriale définie lors du contrat.

Franchisé ou indépendant à la cession

Un indépendant peut décider librement de céder son affaire, dans les termes qui lui conviennent – que ce soit de manière partielle ou totale, les fonds de commerce ou des parts de société. Il peut également choisir de confier les rênes de son entreprise à un descendant, à un salarié ou à tout autre acteur complètement extérieur.

Le franchisé est, quant à lui, obligé de trouver un repreneur qui sera approuvé par le franchiseur. Sa personnalité devant s’accorder harmonieusement avec celle des autres membres du réseau. Une fois approuvé, le nouveau franchisé devra signer un nouveau contrat, pour exploiter le concept de l’enseigne.

Franchisé ou indépendant : solidaire ou solitaire ?

Dans la mesure où les différences entre un franchisé et un indépendant jalonnent la vie d’une entreprise, le choix entre ces deux statuts implique un minimum de réflexion. Solitaire, un indépendant se construit tout seul, en toute autonomie : si le chemin est un investissement, à la fois financier, personnel et émotionnel, il se trace uniquement grâce à son impulsion, avec une bonne préparation…

Le franchisé est, quant à lui, indépendant et autonome, tout en étant accompagné. En effet, le franchiseur guide son candidat dans ses démarches et ses prises de décision, rendant son aventure plus humaine, plus solidaire. Attention, cette relation n’empêche pas le franchisé de prendre des initiatives et de travailler de manière autonome, pour développer son activité. Il demeure le patron de son entreprise !

Dès lors, la question qui peut vous éclairer sur le statut juridique à privilégier est la suivante : ai-je besoin ou non d’un accompagnement efficace et expérimenté ? Pour alimenter votre réflexion, découvrez quel profil faut-il pour ouvrir une franchise 

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Devenir franchisé : avantages & inconvénients

Engendrant 68,8 milliards d’euros, la franchise fait état de sa résilience, à l’image du réseau La Compagnie des Toits, qui ne cesse de s’étoffer. Voici l’occasion de montrer les avantages à devenir franchisé, tout en ayant toutefois conscience de ces quelques inconvénients…

Les 6 grands avantages du franchisé

Une transmission d’un savoir-faire

La franchise est le fruit d’une collaboration active, à la fois commerciale et juridique, entre le franchiseur et le franchisé : ici, le second peut profiter de l’expérience et du savoir-faire du premier. En qualité de partenaires (et non de concurrents), le franchiseur partage sa connaissance métier, les pièges de la profession et les solutions, qu’il a d’ores et déjà trouvées pour les éviter.

À La Compagnie des Toits, cette transmission s’opère principalement à travers une formation initiale de 8 semaines, consacrée aussi bien aux aspects techniques qu’aux aspects commerciaux et administratifs.

Un concept efficace éprouvé sur le terrain

Si l’envie d’entreprendre vous taraude, la franchise est une voie à considérer : à la satisfaction de mener sa propre activité, elle permet aussi de limiter les risques par rapport à une création d’entreprise classique et d’offrir un démarrage plus sécurisé. En effet, le franchisé bénéficie d’un modèle qui a d’ores et déjà fait ses preuves : les performances et les résultats ont déjà été expérimentés avec succès…

Pour preuve, saviez-vous que 90 % des franchises implantées sont encore en activité au bout de 5 ans, alors que le pourcentage n’est que de 50 % pour les entreprises individuelles ?

Un accompagnement opérationnel

Même s’il dirige seul son activité, un franchisé peut bénéficier d’un accompagnement tout au long du projet : avant le lancement, via l’établissement du business plan, la recherche de financement, le choix du local, etc. ; et après, via une assistance technique, des rendez-vous avec des animateurs du réseau, des conventions, des réunions, des échanges avec d’autres franchisés, etc.

À La Compagnie des Toits, cet accompagnement est assuré par la « tête de réseau », constituée d’experts métiers et le paiement de ce service, par les royalties payées par le franchisé. Souvent, l’absence de royalties dans une franchise, sous-entend l’absence d’un accompagnement.

Une notoriété d’une marque

Avec un réseau doté d’une certaine notoriété, le franchisé peut se concentrer sur le déploiement de son activité, tout en bénéficiant d’un avantage concurrentiel évident, tant au niveau de la visibilité que de la fidélisation client. En d’autres termes, la franchise offre, sans conteste, une réelle puissance d’achat et de communication, qui permet au franchisé d’espérer une croissance rapide.

En s’appuyant sur la notoriété du réseau, le franchisé peut aussi profiter d’une puissance de négociation plus forte et obtenir des produits à des prix compétitifs, sans oublier l’accès potentiel à une centrale d’achat et des conditions de livraison intéressantes.

Une dynamique de groupe

Un franchisé bénéficie, d’un côté, de la liberté d’entreprendre, comme un créateur classique, et de l’autre côté, de la force et de la dynamique d’un groupe. En d’autres termes, il est autonome, sans connaître la solitude, puisqu’il pourra toujours demander des conseils au réseau et profiter de l’expérience de chacun de ses membres.

Animé par des valeurs de partage, de solidarité, d’émulation et démultiplication des forces, le franchisé va aussi contribuer à nourrir et faire grandir ce réseau.

Une exclusivité sur un territoire donné

Dans la mesure où tout franchiseur veut développer son réseau sur d’autres territoires que le sien, il va donner l’exclusivité d’une zone à un seul franchisé. L’objectif étant de ne pas créer une concurrence sur un même secteur géographique.

À La Compagnie des Toits, le réseau n’échappe pas à cette règle : le choix de chaque franchisé est souvent dicté par son implantation sur un territoire, sa connaissance du terrain et ses connexions avec les entrepreneurs locaux.

Les 3 grands inconvénients du franchisé

Une indépendance à relativiser

À l’image d’un franchisé McDo, qui ne peut revisiter la recette du hamburger, un franchisé ne peut pas faire ce qu’il veut, quand il veut. Il doit respecter le cahier des charges du franchiseur, portant notamment sur le mobilier, l’emplacement, le catalogue produits/services… Un document établi pour que son réseau conserve une certaine cohérence. À la Compagnie des Toits, un franchisé peut suggérer une innovation : dans ces cas-là, elle est soumise aux autres franchisés, pour une prise de décision partagée

Une redevance à honorer

Tout franchisé doit s’acquitter d’une redevance auprès du franchiseur : à ce stade, il faut distinguer la redevance initiale (droit d’entrée) de la redevance permanente ou royalties, prévue tout au long de la durée du contrat. Ces sommes permettent au franchisé d’utiliser la marque et les produits/services qu’elle propose, de bénéficier de formations, de publicité gratuite, d’assistance, etc. De son côté, le franchiseur peut, avec cet argent, financer le développement de nouveaux produits et brevets pour faire évoluer le concept et le savoir-faire.

Une durée de contrat limitée 

L’article L. 330-1 du Code du commerce limite la durée du contrat entre un franchisé et le franchiseur à 10 ans. Dans les faits, la moyenne s’établit autour de 5 à 6 ans, avec une variation allant de 3 à 10 ans. Quelle que soit la durée choisie, un franchisé n’a aucune garantie de pouvoir poursuivre la collaboration à son terme.

Même s’il est absolument essentiel de connaître ces trois inconvénients, la balance penche nettement en faveur des avantages… Saviez-vous qu’à La Compagnie des Toits, la pérennité de votre entreprise est assurée avec un taux de rentabilité net 2 fois supérieur aux sociétés du bâtiment ? Bien accompagné pour les dimensions technique et commerciale), que diriez-vous de découvrir si vous avez le profil adéquat pour ouvrir une franchise ?

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Quel profil faut-il pour ouvrir une franchise ?

Quel que soit votre profil, il faut avoir l’envie d’entreprendre, bénéficier d’une assise financière suffisante, avoir le sens du commerce et des capacités managériales et enfin, avoir une bonne connaissance de son territoire…

Prérequis en franchise n° 1 : avoir l’envie d’entreprendre

Une franchise est le fruit d’un accord entre un franchiseur, propriétaire de la marque ou de l’enseigne, et un franchisé, commerçant indépendant habilité à vendre les produits et/ou services de ce dernier. Dès lors, un recruteur recherche, avant tout autre chose, une personne motivée. Sous ce modèle, le chef d’entreprise bénéficie du savoir-faire et de l’accompagnement du réseau…

Dès lors, l’envie d’entreprendre est la première qualité recherchée ! Sur ce principe, un mécanicien en reconversion professionnelle peut tout à fait supplanter un chef cuisinier pour l’ouverture d’une succursale de restauration, s’il s’avère plus motivé par le métier, qu’un professionnel du secteur potentiellement désabusé.

Assez logiquement, un franchiseur va choisir un profil qui déploiera tout ce qu’il faut pour vendre sa marque, ayant un goût du travail suffisamment prononcé pour enrichir son réseau, dans tous les sens du terme (chiffre d’affaires, notoriété, nouvelles idées, …).

Prérequis en franchise n° 2 : avoir une solide assise financière

Si la franchise est ouverte à un large panel de profils d’entrepreneur, ce statut suppose toutefois de bénéficier d’un apport financier suffisant pour s’affranchir des droits d’entrée et des investissements nécessaires au lancement de l’activité.

Déjà, il faut bien comprendre qu’un franchiseur ne vous donne pas les droits d’exploitation de sa marque et de ses produits, il vous les vend. Ces droits d’entrée peuvent varier sensiblement d’une franchise à l’autre et suppose de les connaître pour les intégrer à votre plan de financement.

Par ailleurs, s’il existe des aides financières pour ce type de projet, la plupart des banques demanderont un apport personnel minimum, pour sceller leur soutien. De son côté, le franchiseur y verra un gage de bonne foi, témoignant de votre intérêt et de votre attrait en son concept.

Enfin, une bonne assise financière permet d’anticiper une éventuelle période de non-rémunération pour le franchisé. En effet, même si l’appartenance à un réseau vous permet de bénéficier de son savoir-faire et d’un fonctionnement rodé, il y aura forcément une phase de lancement incompressible, avant d’atteindre un rythme de croisière…

Prérequis en franchise n° 3 : avoir le sens du commerce et des capacités managériales

Quelle que soit la franchise retenue, un franchisé doit savoir vendre un produit et/ou un service. Dès lors, il doit posséder une certaine aisance commerciale pour convaincre les clients. Ici, il s’agit de différencier le savoir-faire technique du fait de « savoir vendre ». En effet, un boulanger peut techniquement faire un excellent pain, s’il ne sait pas en vanter les mérites, il ne pourra pas développer son activité.

Un franchiseur va prioritairement chercher des profils à l’aise avec le commerce pour développer son réseau — se chargeant, le cas échéant, d’une formation de la dimension technique de son métier (à l’image de ce que propose La Compagnie des Toits).

Parallèlement, il va aussi rechercher des capacités managériales chez un franchisé. À noter que les profils « cadres » sont grandement apprécié, notamment au sein de la franchise La Compagnie des Toits, puisqu’ils combinent une expérience en gestion humaine et commerciale.

Au-delà de qualités humaines évidentes (contacts avec les clients, les salariés, les autres membres du réseau), le franchisé idéal doit savoir se positionner correctement avec ces différents publics : un « esprit réseau » pour travailler en équipe, un profil « manager » pour diriger ses employés et un profil « commercial » pour représenter positivement la marque auprès de la clientèle.

Prérequis en franchise n° 4 : avoir une bonne connaissance de son territoire

Traditionnellement, une franchise couvre un territoire bien défini. L’objectif étant qu’il n’entre pas en concurrence avec une autre agence du réseau. Que ce soit du côté du franchiseur ou du côté du franchisé, il s’agit donc de s’interroger sur le potentiel de sa zone et connaître ses acteurs économiques.

Idéalement, un franchiseur va privilégier un profil solidement ancré sur sa zone, car il en déduira qu’il en connaît mieux les cibles locales. Mieux, il appréciera un candidat à la franchise ayant tissé un solide réseau local — que ce soit par la pratique d’activités de loisirs (associations, clubs…) ou par une expérience professionnelle (entreprises).

De son côté, le franchisé doit s’interroger sur la « plus-value géographique » qu’il peut apporter à la marque ou à l’enseigne. Autrement dit, la population de son territoire est-elle encline à acheter les produits et/ou services de la franchise ?

À noter qu’en cas de « parachutage » dans une autre région, le franchisé doit absolument s’assurer que son projet professionnel satisfait tous les membres de la famille et qu’ils en mesurent tous les conséquences (déménagement, changement d’école…). Ce n’est qu’à ce prix qu’il pourra éventuellement convaincre le franchiseur de sa démarche.

À La Compagnie des Toits, l’approche technique du métier est balisée lors de la formation initiale de 8 semaines dispensée par la franchise, au même titre que l’approche commerciale. Si vous êtes motivé(e) par l’envie d’entreprendre (qualité essentielle pour nous !), si vous disposez d’une bonne assise financière (pour asseoir votre projet et notre collaboration) et si vous disposez des qualités humaines et managériales (inhérentes au statut d’un franchisé), vous pouvez tout à fait prétendre à rejoindre notre réseau ! Que diriez-vous de prendre un temps pour en discuter ensemble ?

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Début de la 4ème session de formation initiale

DERNIÈRE LIGNE DROITE AVANT DE DEVENIR CHEF D’ENTREPRISE

Laurent DAMPIERRE et Hadrien TELLIER, futurs franchisés La Compagnie des Toits, ont ainsi démarré avec enthousiasme leur formation initiale de 8 semaines.
Avec des expériences professionnelles dans les univers de la gestion de projets informatiques et de l’export agricole, ils vont pouvoir appréhender l’univers du bâtiment et plus précisément celui des toits professionnels.
Ainsi, à l’image des trois précédentes sessions, toutes les disciplines propres aux chefs d’entreprise La Compagnie des Toits, vont être abordées : découverte du système toit, approches techniques, processus commercial, management et stratégie, pilotage des outils, etc.
Afin de varier les méthodes d’apprentissage et favoriser l’appropriation des thèmes, l’approche théorique va être accompagnée de jeux de rôles et de mises en situations professionnelles.
À l’issue de cette formation et accompagnés de leurs Chargés de clientèle, Laurent et Hadrien ouvriront leurs agences sur les secteurs du Loiret et de la Marne.

LE RÉSEAU EXPERT DES TOITS PROFESSIONNELS

Devenir à terme le réseau expert des toits professionnels, tout en permettant à des porteurs de projet de réussir et de s’épanouir personnellement et professionnellement, telle est l’ambition de l’enseigne. La Compagnie des Toits continue d’offrir une pluralité d’opportunités d’implantations sur toute la France.
Pour assurer un bon lancement, booster et sécuriser le développement de chaque franchisé, l’équipe Tête de réseau accompagne en permanence ces derniers et met à leur disposition un ensemble de services parmi lesquels : une formation initiale de 8 semaines, une formation continue, un accompagnement technique et commercial au quotidien, des points de rencontre réguliers, des outils experts et novateurs.


Vous souhaitez vous aussi intégrer en tant que franchisé, un réseau expert aux convictions fortes ?
Faites le choix de La Compagnie des Toits, et soyez sûr qu’avec nous, vous serez en bonne compagne !

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